Matin chaleureux et lactée. [ Libre] (lunard Pods) - end

Un matin plutôt bien ensoleillé pour une matinée estivale. Les rayons de chaleur perçait par l'entrée et les quelques fissures dans les parois de la pouponnière crées par les diverses intempéries au court des dernières saisons. C'est la truffe dans la fourrure chaude de sa mère que Petite Violette dormait profondément. Les quelques brises tiède qui arrivait à franchir la rassurante pelisse blanche et noire de Papillon de Lune et qui titillait les légers poils de la chatonne lui offrait des rêves plus vrai, plus réel. Et c'est dans cette imaginaire qu'elle avait créée la clairière que sa maman lui parlait à elle et sa portée de cet endroit merveilleux qu'on appelait passiflores. Elle rêvait d'y courir et de respirer l'odeur de toutes ses jolies petites fleurs aux parfums si enivrant, c'était surement en printemps. Le temps était doux, accompagné d'une légère brise qui faisait onduler son pelage dans l'air frais. Elle était plus grande que la dernière fois qu'elle en avait rêvé, peut-être était-elle passé apprentis ? En tout cas elle profitait de ce moment de bonheur, le soleil n'était pas encore tout en haut dans le ciel bleu clair. C'est un froissement étranger qui vas lui faire tourner la tête vers un coin ombragé, près des grands sapins entourant ce petit endroit directement venu du territoire de ses aïeuls. Cette forme sombre qui ressemblait beaucoup à un chat ne la rassurait pas vraiment, elle en arrêta même de flâner entre les fleurs blanches et violettes pour le fixer du regard. Le temps continuait d'avancer comme si cet intrus n'existait pas, une étrange oppression la paralysait. L'étrange chat fit un pas en avant, sortant légèrement des sous-bois. La peur commençait à s'incruster comme un parasite dans l'esprit de la jeune chatonne. Et cette peur incontrôlé ne lui disait qu'une chose : Fuis. La Violette ne ce fis pas prier, c'est dans le sens contraire de l'inconnu flippant qu'elle partis en fuite. Elle courait aussi vite qu'elle le pouvait, esquivant les racines et conifères qu'elle rencontrait sur son chemin. La présence du chat mystère était encore là, suivant le moindre de ses faits et geste. Une autre peur était arrivé, celle de mourir. Elle n'arrivait pas à savoir ce qu'il lui voulait. Et si c'était un méchant chat, ceux de la forêt sombre et qui voulait m'emmener là-bas ? Cette simple réflexion lui fit perdre sa concentration sur le paysage et une racine mise au mauvais endroit lui attrapa la patte. Ce qui la fit tomber bien contre les épines de pins. Une ombre était au-dessus d'elle. Elle ne ce releva ou ne tourna même pas la tête pour enfin voir cet étrange personne. Elle avait beaucoup trop peur. C'est lorsqu'un souffle touche la fourrure de sa nuque qu'elle laissa échapper un cri de détresse. Les yeux fermement fermé elle se débattait, il était là. Elle en était sur et certaine, c'était lui qu'il l'emprisonnait. Ses miaulements répétitifs de détresse continuait dans un silence bientôt qui la gênait. Elle arrêta ses cris aigus et ouvrir doucement un de ses petits yeux vert. Elle était dans la pouponnière, collé contre le ventre de Papillon de Lune. Le stress était retombé, alors deux petites perles d'eau ce créèrent au creux de ses yeux puis une rivière de larmes les suivirent ainsi que les miaulements. Elle voulait être réconforté, dorloter et rassuré. Elle avait peur que le méchant chat de la forêt sombre reviennes pour la kidnapper.


"Maman ! Maman ! J'ai peur, j'ai peur !"


HRP : ce rêve transformé en cauchemar est juste son imagination, c'est elle qui lie cette ombre à un chat de la forêt sombre. Ce qui n'est en réalité pas vrai.