"Apprendre à se connaître, c'est ajouter une épaisseur à une énigme." - PV Etoile Vaillante - end

Apprendre à se connaître,
c'est ajouter une épaisseur à une énigme.
Citation de Jean Éthier-Blais

Le jeune guerrier rentra au camp le souffle court, ses compagnons le suivant de près. La frontière avec le clan de l'Ombre était paisible, respecter même. Leurs ennemis n'avaient pas mis les pattes sur leur terre et la patrouille entière était sereine malgré la course éperdu mener pour rentrer, un simple jeu, une sorte de test pour savoir qui serait le plus rapide. C'est pas la ruse que le guerrier avait dominer les autres, forçant le groupe à passer dans une zone où les terriers abandonnés de leurs proie étaient nombreux. Néanmoins à présent il essuyait les remarques des autres et il leva fièrement la queue bien haut puis les snobant, il s'éloigna à la recherche d'une femelle calico qui, il l'apprit bien vite, était partie chasser. Ainsi il pourrait parler directement à Etoile Vaillante. S'était la première fois qu'il s'était vu confié une patrouille et tout s'était déroulé à merveille. Les six dernières lunes passées à éviter de se mettre quiconque à dos n'avait pas été vain. Mieux, il lui avait sembler avoir la confiance de certains de ses camarades quoi que, toute relative. La rousse qu'il cherchait à présent était un peu plus loin et il la rejoignit d'un pas circonspect.

- Bonjour Etoile Vaillante, il n'y a rien à signaler sur la frontière avec l'Ombre. En revanche ... Nous avons repérer les traces d'un inconnu qui doivent dater de plusieurs jours ...

Sans doute un solitaire d'ailleurs. L'infime odeur était accroché à un arbuste faiblard dont les rares tiges peinaient à se dresser. Néanmoins les autres avaient tous confirmé et la patrouille avaient finit sur ses gardes. Du moins jusqu'à ce que la frontière soient entièrement inspecter. Et comme rien d'autre n'était venu les perturbés, ils avaient tous pu rentrer en entraînant leur vitesse et leur capacités à examiner le terrain. "Te contente pas d'un simple merci Etoile Vaillante, il faut que j'apprenne à te comprendre si je veux te prendre ta place..." Les pensées du mâle était bien plus sombre que le ton badin qu'il s'était employé à avoir. Alors certes il avait légèrement baisser la tête de façon respectueuse mais il n'admettait pas vraiment que la guerrière soit devenue meneuse. Mais quel chance aurait-il pu avoir, abasourdi par la mort d'Etoile de Sable, trop jeune pour avoir réellement droit de s'exprimer parmi les vétérans, il avaient du se taire. Depuis, il veillait à faire au mieux, à ne froisser nul félin et il avait même pris sur lui de s'intéresser aux apprentis. L'illusion lui semblait parfaite, mais la nuit il avait souvent besoin de s'isoler et de ne penser qu'à lui. Faire bonne figure était un jeu difficile mais son ambition méritait ce sacrifice. Il n'avait plus qu'à attendre que la femelle face à lui lui confie un apprenti. En attendant il attendait face à elle, un peu anxieux néanmoins, cherchant déjà un prétexte pour pouvoir converser avec elle, la comprendre, l'examiner sous ton les angles avec un infime espoir de déceler une faille.

Spoiler:

Les charges qui incombaient à un chef étaient grandes. Et pourtant, Tâche d'If se révélait exemplaire dans son rang de lieutenante. Elle avait lancé avant même mon réveil les patrouilles. Satisfaite, je me dirigeais vers la pouponnière. Il n'y avait que peu de chatons, mais je tenais à aller saluer chacun d'eux et apprendre à les connaître un peu. Non loin de là, Coeur Fleuri commençait son tout premier cours des premiers soins à un groupe de jeunes apprentis turbulents. Malgré leur désintérêt pour certain total, je ne doutais pas des capacités de ma soeur qui allait les faire écouter sans aucun problème.

La patrouille revint alors, et Cobra Royal se dirigea vers moi tout naturellement puisque ma seconde s'en était allée pour chasser. Je le saluai d'un signe de tête et écoutai attentivement.

- Bonjour Etoile Vaillante, il n'y a rien à signaler sur la frontière avec l'Ombre. En revanche ... Nous avons repérer les traces d'un inconnu qui doivent dater de plusieurs jours ...

Un inconnu? Mes poils s'hérissèrent légèrement. Pourquoi ces bestiaux s'entêtaient à venir sur nos terres? Il faudra le retrouver et lui donner une correction.

"Merci Cobra Royal."

Je me méfiais de ce félin quant à ses intentions. Mais il est vrai qu'en ce moment, il faisait bonne figure. Avait-il changé en bien? Je l'espérais. Quoiqu'il en soit, ce n'était pas le problème du moment et l'ayant avec moi, je lui "proposai" :

"Cet inconnu tu penses qu'il n'est plus sur nos terres? Montres moi où vous l'avez senti. Tu devrais savoir que je ne vais tolérer aucune intrusion. Si nous pouvions le retrouver, ce sera pour lui flanquer une bonne correction. "

Cobra Royal était un bon guerrier et n'avait pas froid aux yeux. Evidemment qu'il allait obéir. Si nous tombions sur l'erreur de la nature, n'était-ce pas une situation en or pour lui pour "me prouver sa valeur"? De plus, entre Nuage de Guépard et Nuage Silencieux, nous étions affaibli et ce n'était pas le moment qu'un inconnu se balade sur nos terres. Nous ne connaissions pas son profil ni ses intentions. Nous ne pouvions pas prendre le risque.

Apprendre à se connaître,
c'est ajouter une épaisseur à une énigme.

Cobra Royal était ravi que la meneuse lui demande personnellement de la mener vers l'endroit. Il remua la queue un instant, puis il lui répondit. L'odeur est ancienne, deux, trois jours je dirai. On l'a suivi un moment jusqu'au quatre chênes mais elle s'était déjà éventée. Et nous n'avons rien trouvé qui pourrait nous laisser pensées qu'il était toujours dans les environs. Néanmoins, il prit les devants, quittant le camp tout en s'assurant que la rouquine le suivait bel et bien. "Comme si j'aurai pu laisser un inconnu sur nos terres en vie ..." La pensée était bien moins docile que le ton employer avec la meneuse mais il n'en avait cure car nul chat n'avait jamais sus lire en l'esprit des autres. Mais il prenait la remarque d'Etoile Vaillante comme un affront personnel. Il ne tarda guère à arriver sur les lieux et bientôt, il retrouva le buisson rabougris qu'il désigna du museau.

- C'est ici que Plume de Pigeon l'a senti en premier.

Le guerrier se mordit légèrement la langue, pourquoi avait il dit la vérité pur et ne s'était il pas contenté de dire que s'était ici qu'ils avaient repérer la trace tout simplement. Plume de Pigeon serait féliciter pour avoir senti l'odeur légère sur l'arbuste mal en point. Le chat remua ses moustache avant de gratter doucement la terre du bout d'une de ses pattes blanches. Il finit par redresser la tête pour plonger son regard sur la guerrière. - J'ai retrouvé Nuage Silencieux un peu plus loin mais cette nuit là, je ne pense pas qu'on ai pu passer à côté avec Nuage de Guépard c'est donc plus récent non ? Il savait que l'apprenti était le petit fils de la cheffe et reparler du drame qui avait faillit coûté la vie au novice - et l'aurait certainement coûté, si lui-même n'était pas sorti et que Nuage de Mousse n'avait, par la suite, réveiller le camp dans sa totalité - était une possibilité de faire parler la chatte. Et puis ainsi, il pourrait paraître s'inquiéter du sort du jeune chat quand bien même la réalité était toute différente. Oh certes, parmi les apprentis, il y en avait bien deux qu'il gardait à l’œil, toujours de loin. Son secret était parfaitement garder et la seule qui aurait pu l'ébruiter était morte, qui plus est, l'avenir des deux jeunes ne lui importait que pour une seule raison. Les plus jeunes étaient les guerriers de demain. Le félin s'avança d'un pas, humant de nouveau l'air. L'odeur de la patrouille était fraîche et celle de l'étranger presque disparu. Avec de la chance pourtant, il pourrait trouver autre chose non ? Du moins il l'espérait fortement. Non seulement car il n'avait pu participer à une vraie bataille depuis un moment mais aussi parce qu'ainsi il pouvait espérer rester un peu plus longtemps avec leur cheftaine. Et chaque instant passer avec la meneuse pouvait faire pencher la balance en sa faveur.

L'odeur est ancienne, deux, trois jours je dirai. On l'a suivi un moment jusqu'au quatre chênes mais elle s'était déjà éventée. Et nous n'avons rien trouvé qui pourrait nous laisser penser qu'il était toujours dans les environs.

J'hochai la tête, encore heureux sinon j'espère bien que vous l'auriez sévèrement réprimandé. Je suivis alors l'être bichrome noir et blanc. Un arbre maigrichon.

- C'est ici que Plume de Pigeon l'a senti en premier.

J'humai l'air. Oh, le fumet était bien effacé en effet.

- J'ai retrouvé Nuage Silencieux un peu plus loin mais cette nuit là, je ne pense pas qu'on ai pu passer à côté avec Nuage de Guépard c'est donc plus récent non ?

Mmh... Malgré le choc d'avoir retrouvé l'apprenti ensanglanté, une odeur étrangère n'aurait en effet pas pu passée innaperçue notamment parce que j'avais envoyé ce couple guerrier/apprenti pour déceler tous les détails capables d'expliquer l'incident. Une odeur suspecte? La théorie d'une attaque n'aurait alors pas été écartée d'emblée. J'hochai alors la tête, pour approuver ses dires. Bon, la trace était si faible que c'était limite un miracle qu'ils aient réussi à la suivre. Et impossible de reconnaître l'auteur de ce fumet tant il était faible, même si on le rencontrait. Bon. Je n'avais plus rien d'autres à faire ici. Mais autant être dehors, autant chasser un peu. Le tas de gibier n'allait pas se remplir seul.

"Si tu n'as rien à faire, chassons."

Bon, pas les paroles les plus agréables du monde. Ce n'était pas comme ça que j'allais unifier mon clan. Il me fallait davantage connaître mes guerriers et guerrières. Alors ok, j'allais faire un petit effort entre deux souris. Je me mis d'abord en chasse. Des petits pas, des vibrations dans le sol m'indiquèrent la présence d'une souris. J'adoptai la position de chasse, et je marchai de mes pattes de velours vers le rongeur. Jusqu'à écraser dans un bruit assourdissant cte brindille débile qui m'anéantit ma chasse. Bon. Espérons que l'autre ne m'ait pas remarqué. Il est censé être concentré sur sa chasse, non? Je me remis en chasse, le rejoignis et lançai d'un air totalement détaché:

"Sinon, quoi de neuf ? Cela fait bien longtemps que l'on a pas fait un brin de causette. "

Sur un ton plus humoristique et malicieux, je lançai :

"Pas de demoiselle qui attendrit ton coeur fier?"

N'était-ce-pas censée être les amours au centre de la vie des jeunots? Bon ok, c'était un peu nul comme phrase d'approche, faudra que j'aille causer avec Force de l'Ours, il sait mieux s'y prendre.

Spoiler:

Apprendre à se connaître,
c'est ajouter une épaisseur à une énigme.

La cheffe huma le buisson à son tour, elle avait garder le silence jusque là, le laissant s'exprimer, le laissant seul à rompre le silence. Il se figea, guettant sa réaction. Visiblement elle leur faisait confiance, il soupira faiblement en la voyant humer à son tour le buisson. Rien, s'était ce qu'évoquer le regard de la femelle. Ni colère, ni joie, juste le calme. Comme si il n'y avait rien à tirer de ce qu'ils avaient découvert. Le chat remua la queue nerveusement. Il aurait aimer une piste plus clair mais qui sait, soit l'étranger était reparti, soit on l'avait éconduit. Il aurait aimer en savoir davantage mais Etoile Vaillante brisa tout ses espoirs en lui parlant chasse. Il cacha pourtant sa déception. "Après toi ..." Sa pensée n'était qu'amertume mais il garda le silence. Le félin s'éloigna, gardant un point élevé. Pour l'heure il observait la femelle rousse, tout en humant l'air. Mais aucun fumet n'était venu dans ses narines, à plus fortes raison qui'il était davantage attentif aux exploit de sa meneuse, désireux de savoir si comme lui, la chasse était une nécessité, pas une passion. Et elle ne tarda pas à louper royalement sa proie. Il se détourna alors, comme guettant l'horizon. C'est la voix de la femelle qui ramena son regard vers elle.

- Hum ... Il se tourna vers elle, réellement surpris. Puis il remua les moustaches alors qu'elle poursuivait d'une façon des plus malhabiles. Œil de Biche est ma compagne depuis plus de six lunes ... mais ... hum ... pas de petits à venir si c'est ce qui t'intéresse vraiment.

N'importe quel chef voulait savoir si son clan allait s’agrandir de membre non ? Il se tut, levant la tête, guettant à nouveau un parfum de proie. C'est autre chose qui attira son intention. Un corbeau, encore un. A croire qu'il pullulait sur leurs territoires. Il en avait déjà vu nombre d'autres quelques jours plus tôt. Les charognards noirs aimaient visiblement leurs landes, vastes, permettant de voir un prédateur arriver. D'un signe de queue, il invita la meneuse à attirer l'attention de l'animal où, au contraire, à rester là à attendre. "J'espère bien faire mieux que toi." Il s'éloigna d'un pas feutré, sa grande taille était un handicap mais il usa de son intelligence, se cachant autant que faire ce peu en usant des mottes de terre, des buissons rachitiques. Il fut sur l'oiseau macabre en une seconde, un bond, ses pattes se rabattirent sur l'animal et ses crocs se plongèrent dans le cou maigrichons. Les vertèbres cédèrent sous la pression et la mort fut silencieuse. Un instant seulement car un autre corbeau s’envola en criant. Le guerrier revint vers la meneuse, sa proie pendant mollement entre ses crocs. Il la déposa sur le sol avant de lui parler.

- Un de moins. A croire qu'il y a des charognes non loin. Il y a bien nos voisins ceci dit ...

Il étira un sourire, forcée la cheffe sur la voie politique pouvait lui donner des idées sur ce qu'elle escomptait faire. Était elle réellement une combattante ? La nomination de Tache d'If en avait fait douter beaucoup sur leur meneuse.

Œil de Biche est ma compagne depuis plus de six lunes ... mais ... hum ... pas de petits à venir si c'est ce qui t'intéresse vraiment.

Ah. Il était en couple, j'avais zappé... booooon. J'hochai la tête, sûre de moi. Je ne savais pas vraiment quoi dire d'autres. Tu parles d'une chef de clan, elle sait même pas discuter avec ses guerriers. Un fumet désagréable s'éleva dans les airs, et un fort croassement déchira le silence gêné qui s'était installé entre nous. Un corbeau. Le mâle à la pelisse noir se mit en position de chasse. Je l'observai se mouvoir. N'avait-il pas l'âge de prendre un apprenti? Mais j'ignorais s'il serait à la hauteur... C'était confier le sort d'une vie de confier un apprenti à un chat... Il ne fallait pas se tromper.

- Un de moins. A croire qu'il y a des charognes non loin. Il y a bien nos voisins ceci dit ...

Je soufflai, amusée. Et répondais aussitôt d'une voix ironique, dans laquelle la haine était un réseau de ronces qui ne se détachait jamais de ses tons, lorsque le sujet des autres clans était abordé:

"Même les charognards sont mieux nuisibles qu'eux. Dommage que personne ne se pointe, on aurait pu se dégourdir les pattes."

Certes, ce n'était pas forcément des paroles de meneur réfléchi et sage. Mais je détestais mes adversaires plus que tout. La peste, voilà ce qu'ils avaient. Je n'avais que peu de respect pour eux, et franchement personne même pas Tâche d'If me ferait changer d'avis.

Spoiler:

Apprendre à se connaître,
c'est ajouter une épaisseur à une énigme.

Le guerrier osa un soupir faiblard avant de relever la tête, plongeant ses pupilles - qui n'étaient devenu que deux fines fentes aux milieux de ses iris bleu - observant la rouquine. "Ainsi donc une bonne bataille te ferais du bien, à toi aussi ?" Il n'osa le formuler à voix haute, craignant qu'elle ne prenne mal la familiarité de ses dires. A la place, il se contenta de quelques choses de non moins agressifs. Quand tu dis, "se dégourdir les pattes", tu veux bien parler de leur renvoyer un où deux estropié inconscient ? Il attendis sa réponse, affichant une expression neutre au possible, espérant qu'elle n'aurait rien contre sa vision des choses. Néanmoins il se dépêcha presque d'ajouter, comme pour ne pas la choquer. Enfin, concernant les guerriers ... Le jeune mâle préféra ensuite détourner la tête, cherchant une distraction avant de regarder de nouveau la femelle. Rien n'avait le luxe d'attirer leur attention et il préféra à la place reprendre parole.

- Alors, qu'est ce que tu ... envisages pour le clan ?

Il esquissa son sempiternel sourire en coin, espérant qu'elle serait franche. Une bonne guerre ouverte ? Impensable où presque avant la mauvaise saison, à moins que ? Non, s'était trop tôt et lui-même pouvait s'en rendre compte. Elle n'était pas au pouvoir depuis assez longtemps pour se le permettre. Néanmoins, il était vraiment curieux quand aux décisions de leur meneuse. Il avait besoin de savoir la vision qu'elle avait et ça, elle devait bien le sentir. Il allait pour s’asseoir quand un cri rauque venu du ciel le fit se redresser. Visiblement son corbeau n'était pas seul et l'autre n'avait pas froid aux yeux. Où alors il était malade, toujours est il qu'un corbeau s'était mis à piailler bruyamment au dessus d'eux. L'oiseau entama une descente mais il ne tarda guère à planer pour s'éloigner des deux félins et du corps encore tiède de la proie capturer par le guerrier. Néanmoins, le phénomène recommença et le chat remua la queue d'agacement tout en plaquant ses oreilles sur son crane. Avec cet imbécile à plume, il n'y avait plus nul chance que d'autres proies traîne dans les parages. Le félin n'accorda aucun regard à la rouquine, au troisième survole de l'animal noir, il usa de ses pattes arrières, longues et musclés pour bondir. Sa patte avant frappa le volatile qui, perturber alla s'écraser plus loin. Un bond après une foulée rapide suffit au chat à ce qu'il l'achève. Il se redressa, des éclairs dans les yeux. Ça n'avait rien d'une bataille ça, le piaf ... Le guerrier émit un léger sifflement avant de prendre sa proie, la ramenant près de la première, les deux plumages d'un noir irisé l'agaçant plus qu'il ne le réconfortait. Certes il avait deux belles prise mais le souvenir du pourquoi il était là avec la meneuse avait resurgit. Un inconnu avait foulé leur terre et il n'était pas foutu de trouver qui !