[Halloween] Mauvais endroit, mauvais moment | Rusty - end

Goût cadavre putride:

Une mauvaise journée, depuis le moment où il s'était levé, Vautour Fauve avait sut que c'était une mauvaise journée. D'une humeur massacrante depuis son réveil, il avait essayé de se changer les idées en allant chasser, mais il avait dut faire face à un échec qui l'avait rendu plus furieux encore. Il était tendu, il avait besoin d'évacuer cette colère qui coulait dans ses veines. De se défouler. Il laissa ses griffes se planter avec violence dans les troncs de certains arbres. Mais cela ne servait clairement à rien. Il pouvait toujours sentir cette rage qui traversait son sang. Marchant à travers la forêt, il finit par arriver près de la lisière du bois. Devant lui se découpait les premières maisons de la ville.

Il détestait la ville, il l'avait toujours détesté. Elle et ses monstres, ses bipèdes et ses chats domestiques. Les félins de maison le dégoûtait. Des vermines, voilà ce qu'ils étaient. Des faibles qui ne connaissaient qu'une vie simple et calme. Une vie dans un petit carré de verdure. Comment on pouvait aimer ça ? Une grimace de dégoût se dessina sur ses lèvres. Il se contenta donc de longer la lisière, ne voulant pas retourner au camp ainsi. Alors qu'il longeait les clôtures qui séparaient les jardins de la forêt, les yeux ambrés du guerrier se posèrent sur une forme féline.

L'odeur immonde du domestique lui sauta au nez. Il les haïssait, ces domestiques. Sa colère toujours aussi présente ne fit que renforcer cette aversion.


HRP : Blop, j'te saute dessus au prochain poste du coup c:

Le domestique boitillait, semblant hésiter à laisser son poids trop longtemps dessus. Une nouvelle vague de colère traversa le corps du guerrier du Tonnerre. L'autre félin n'était pas bien loin, il levait à présent la tête vers les arbres presque nus, semblant chercher quelque chose. En le voyant s'approcher, l'imposant guerrier avait regagné un buisson où il pourrait observer l'autre chat. Cependant, n'y tenant plus, guidé par la rage qui ne souhaitait pas disparaître, il sorti en trombe de sa cachette pour se précipiter vers l'abyssin.

A peine fut-il a porté qu'il lui bondit dessus pour lui infliger un violent coup de griffe. Si cela eut l'espace d'un instant le don de lui faire du bien, sa colère et sa haine restait cependant toujours bien présente. Ce félin n'avait rien fait d'autre que de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment. Ainsi, il subirait la colère du Vautour. Tant pis pour lui, il n'avait qu'à pas être là. Il n'avait qu'à pas être un domestique. Il n'avait qu'à pas exister.

HRP : Un peu court déso :c

HRP:

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_{Curiosité ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ★ Vie Douillette}
^{Statut d'influence : C'est fini, il ne sortira plus de sitôt}

Un cri de douleur s'était échappé de la gueule du chat domestique ce qui alerta un bipède plus loin. Vautour Fauve ne l'avait pas remarqué avant. Mais peu importait, pour le moment la colère du guerrier était toujours trop présente pour s'en occupé, cependant, alors qu'il songeait à lui redonner un coup, l'homme ouvrit la bouche, criant quelques choses que le chat sauvage ne comprit pas. Son adversaire, bien que ce fut plutôt une victime sur le moment, s'était aplatit sur le sol, lorsque l'humain rouvrit la bouche, criant quelque chose d'autre, le mangeur de croquette sembla réagir puisqu'il se hâta de le rejoindre en rampant, boitant à présent de deux de ses pattes, il se rapprocha rapidement de son maître, et lorsque ce dernier frappa de ses étranges pattes, il lui bondit dans les bras.

Crachant et feulant, le matou des bois observa le domestique ronronner alors que l'homme le caressait. Cela dégoûta l'imposant mâle tigré. Comment pouvait on apprécié le touché de ces horribles créatures qu'étaient les Hommes. Vautour Fauve était resté sur place, la fourrure encore hérissée, feulant toujours autant. Cependant le bipède tourna le regard vers lui pour lui aboyer dessus avec ce langage qu'il ne comprenait pas. Il cracha une nouvelle fois avant de croiser le regard bleuté du matou qu'il avait attaqué, il semblait le questionner. Mais il n'en avait rien à faire. Il grogna une dernière fois pour la forme avant de s'échapper dans la forêt, ne souhaitant pas avoir à faire avec un humain.

Un rictus se dessina malgré tout sur les lèvres du guerrier. Il avait tout de même foutu une trempe à ce chat des villes. Puis, il avait eut l'air bien effrayé. Tant mieux. Sa colère s'était légèrement apaisé. Il prit donc son temps avant de finalement rentrer au camp.


HRP : Merci pour ce Rp du coup c: Et déso déso, j'voulais pas te taper en vrai :c xD