Les crocs du maquereaux bousculer par les feuilles - abandon

♪ Apprenti

Nuage de feuilles sortait de ça tanière pour profiter du faible soleil d'hiver, son mentor lui avait laissé cette journée de pause pour qu'elle choisisse elle même ces activités, alors la jeune chatte partie se servir un campagnol qu'elle engloutie rapidement. Ce matin elle voulait révisé les techniques de combat qu'elle avait appris la veille, alors elle prit une boule de mousse pour cible et comment ça a l'attaquer de façon simple avec seulement des bons et un coup de griffe avant de repartir en arrière comme pour se parer a une éventuelle contre attaque. La jeune apprentie fini par oublier le monde qui l'entourent pour se concentrer seulement sur la boule de mousse, quand elle se sentit atterrir sur un pelage qui lui fit faire volte face dans un feulement de surprise. Elle atterri face au guerrier en montrant les crocs et quand elle reconnue le félin elle ne su pas trop comment réagir, mal à l'aise a cause de ça réaction disproportionné, elle ne savait plus vraiment quoi dire...
Elle fixa le guerrier sur lequel elle avait atterri avec un regard des plus innocent et se hâta de rentrer ces griffes, elle qui avait espéré pouvoir s'entraîner calmement et pour une fois que ça fratrie n'était pas là pour lui créé des ennuis, voilà qu'elle s'en créait toute seule. Elle réprima un soupir en pensant au sermons qu'elle risquait de se prendre et fit en sorte de garder son regard planter dans celui du guerrier, quitte a se faire disputer autant rester fière !

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Boule de chaleur - Nuage de Chaleur - Coup de Chaleur - Étoile ardente

Les crocs du maquereaux bousculer par les feuilles - abandon Eklp

Feuilles d'Aubépine:

Δ Petit

C’était une de ses journées où l’aurore manquait d’éclat, le blafard au teint et la pelisse en broussaille, ridée par nombre d’aspérités nuageuses. Encore perclus dans les vestiges hivernaux, une bruine éparse encombrait l’envergure du camp, obstruant toute visibilité à l’exception d’un moindre monceau de terre, happé à l’œil nu. L’humidité régnait en reine sur la combe, cristallisant l’énergie latente et coutumière de ses hôtes, sous diverses réserves à s’éveiller. L’air saturait d’impuretés, étreint dans un étau brumeux, humecté par un rideau de moiteur exigu. Bien qu’impalpable, la suée terrestre répandue en sillons vaporeux amalgamées, appesantissait les occupations de chacun. Ainsi, aucune émulsion n’abondait parmi les membres guerriers du clan de l’Ombre, animées par seule fatigue et désinvolture à dissimuler leurs carcasses vautrées sous un préau de ronces.

Ecaille de Maquereau n’était pas en reste. A l’instar de ses comparses, ce dernier subissait les fluctuations naturelles, courbant l’épaule sous la tutelle des climats tempérés qu’induisait les primes températures estivales. Ainsi, le félin d’argent demeurait le regard rivé sur les oscillations de sable irrégulières, que ses pattes labouraient sur son passage. Sa silhouette chétive engloutie par le brouillard ambiant et l’esprit happé par un excès vaporeux, Ecaille de Maquereau s’embourbait dans un récif d’idées disparates et délurées, mêlant une injonction entre rêves et réalité. Certains matins étaient plus fructifiant que celui-ci : sa mousse imbibée et ses agitations nocturnes eurent raison de son indisposition momentanée. En effet, s’accordant aux états d’une cervelle ramollie, les mécaniques de ses muscles endoloris peinaient à ôter la rouille parasite, qui obstruait ses rouages.

Ainsi, le félin rééduquait sa démarche vacillante, drainée de toute vigueur, à l’insu d’un pas cadencé par les soubresauts intempestifs d’une proie, récemment piochée. Comme à l’accoutumée, Ecaille de Maquereau eût prit à parti de flatter son gosier -bien qu’un moindre mal subsistât au creux de son estomac- autant qu’à adoucir l’haleine fétide embourbé dans son réseau salivaire sirupeuse, aggloméré sur son palais. La consistance filandreuse chargée d’un fumet aux attraits de charogne, le répugnait, autant qu’il fallu s’armer de patience pour s’en débarrasser. Beurk. Aussi, son premier repas était-il toujours accompagné d’une solitude savoureuse, sans présence superflue. Profiter de l’apparat naturel, immaculé d’aucune agitation superficielle, ni de démonstration expansive quêtant son attention. A l’évidence, lui-même jouissait d’un loisir vain ; la liberté quant à se vernir le faciès d’aucun masque parasite.

Ainsi, il rasa les annexes du clan à foulée apathique, la démarche langoureuse engoncée dans un pas de souris. Il paraissait presque boiter, tant sa silhouette claudiquait à mesure qu’il écourtait son cheminement fragmenté d’arrêts. Encore hypnotisé par les soubresauts incessants de sa proie- moindre cadavre inerte suspendu à sa mâchoire dont le balancier ne cessait guère- le félin se fourvoya sur les bruissements alentours, qui eurent envahit son ouïe toute meurtrie. Toutefois, ses oreilles tentaient de balayer le chahut anecdotique d’une pirouette à revers, en vain. L’arme du délit se pressait contre le sol meuble, adhérant sa surface rugueuse à la disette sablonneuse. Encore un chaton vagabond qui eût réchappé à la conquête protectrice de sa mère, le laissant à ses dérives encombrantes. Les chatons, ça n’avait de stimulant que la naïveté à usurper sous divers récits prompts à heurter leur sensibilité, et drainer toute candeur de leurs minois effarés. Sinon, aucune utilité à s’occuper d’un lot de geignards affamés. Ainsi agacé, Ecaille de Maquereau pressa le pas ; peu désireux d’adoucir les foudres d’une mère accusatrice, délesté de culpabilité quant à l’évasion prématurée de son chaton.

Engagée dans son tumulte, une tempête de sable sur son versant, le chaton picora sa mousse à coups de griffes, la détermination aux ongles. Il sema un regard avisé, l’œillade fendue ; le coup de grâce eût envoyé le monceau de feuillage verdoyant, à quelques longueurs de queue, gisant dans une marre de grains. Évidemment, se conformant aux anticipations, le petit s’empêtra dans les pattes de son aînée, percutant de plein fouet son fessier dénuée de queue pour l’avertir. Sitôt bousculé et les nerfs mutilés, Ecaille de Maquereau fit volte-face sur son adversaire, le feulement brûlant de s’égosiller :

- Eeeeeh ! Mon divin châssis ! Eructa-t-il toute colère amalgamée.

Ridicule.

Le poil bouffi semé sur son visage, comme d’un carquois de feuilles mouchetant les rameaux des contrées boisées, le félin se pressa de dissimuler son trouble par quelconque subterfuge. La contenance raidissant aussitôt son assise, les membres inférieurs savamment rapatriées au-devant de son buste -ne jamais laisser échapper ses émotions, les battements cardiaques en prime alerte. Sous ses yeux, dominée par toute une hauteur de tête, se présentait une apprentie versatile à l’air mutin, la fierté indélébile aux creux des mirettes, et la dignité bandaient ses muscles. Parfois, l’arrogance acquise des félins du Clan de l’Ombre devenait une tare à récurer, comme d’une mousse récalcitrante à dépecer. Visiblement, la gamine ne démordrait guère de ses positions comme le laissait deviner ses attraits.

- Qu’attends-tu ? Demanda-t-il le ton enduit de miel, bien qu’un geste saccadé de la queue -pourtant si bien rangé autour de ses pâtes- vînt trahir de son impatience. En effet, l’apprentie usait de ses charmes en quête d’un moindre châtiment, l’œillade brillante sollicitant l’indulgence -une faille à combler. Que je t’applaudisse ? Ou que j’ébruite tes méfaits ? Car le popotin était toujours douloureux. Toujours.

Finalement, il fît roder la pointe de sa queue sous la tourbe marbrée encore immature de sa cadette, prompt à rehausser son minois. Par ailleurs, il radoucit son discours, sans toutefois l’évincer de ces menaces.

- Et au risque de te décevoir, ce n’est pas en flattant mon intérêt que tu obtiendras gain de cause. A ce jeu-là, tu ne dépasseras jamais ton maître : moi. Il agrémenta sa diatribe d’un rire sardonique, ses épaules se confondant sous multiples soubresauts, en proie à forcer l’exagération de son propos moqueur. Dénué de scrupules à incommoder la femelle, Ecaille de Maquereau subtilisait son statut de guerrier pour mieux l’appesantir de ses fautes, distillant la culpabilité au détriment du pardon. Taillader un réseau de ronces, pour en troquer ses secrets.

Il étira le cou, pour raffermir leur intimité autant qu’à collecter les dernières bribes d’une attention assidue, loin des oreilles indiscrètes qui parsemaient le camp. Dans son mouvement, le félin d’argent perçu un éclat familier dans le regard nuancé de vert propre à la féline. Visiblement, l’hérédité augurait un certain prestige à s’éprendre de ressemblance, parmi les membres d’une même famille. Aussitôt, l’évocation de son nom vînt ramifier sa palette d’hypothèses : Nuage de Feuilles, digne fille de la volubile Rivière Silencieuse, issue d’un héritage approximatif entre un galet et un tronc d’arbre, la jeune féline promettait à l’instar de ses frères d’aboutir à un oncle complètement gâteux, par leur seule naissance. Parfait : Nuage de Feuilles trouvait son intérêt par la faiblesse qu’elle attisait. Un pion astucieux. Seulement, lui n’avait rien du guerrier ébène, outrepassés leurs liens familiaux. Si son habileté lui permettait d’assujettir la petite à l’insu de Feuille de Houx, d’aucun ne viendrait pus obstruer sa liberté.

- Sais-tu ce que l’on réserve aux vilains chatons comme toi, Machin de Feuilles ? Avança-t-il langoureux, chaque syllabe résolument décuite, au creux de son oreille. Car en outre, j’ai tout le loisir de te contraindre à de basses besognes. Que dirais-tu de nettoyer mon campagnol que tu as fait tombé ? Fâcheux et ni très reluisant, n'est-ce pas ? Feignant l’innocence, son allocution ne détonnait guère d’accusation ni d’humiliation à l’encontre de la femelle, d’autant qu’il n’hésiterait pas à l’agrémenter de cruauté. Par ailleurs, le prochain qui oserait contraindre son repas à trépas, en subirait les conséquences réunies. J’ai la certitude que certaines personnes déploreraient ton infortune, bien qu’à tort, ils me donneraient raison.

Se pourléchant les babines comme pour clore un débat régit sous sa coupe, Ecaille de Maquereau se redressa de toute sa hauteur, écrasant la minuscule apprentie de sa position.

- M’enfin bon, comme je suis dans un jour de bonté, souri-t-il, sirupeux, j’accepte de te faire grâce d’une faveur. Tu m’accompagnes en patrouille de chasse, ce matin. Tu auras tout le plaisir d’étayer ta verve à la chasse, à défaut que ton butin me reviendra !

Sans laisser augure aux protestations ou quelconques négociations, le félin d’argent se détourna, les oreilles rivées sur l’embouchure que formait la sortie du camp. Sa queue louvoyant sa colonne vertébrale pour l’intimer de le suivre, il avisa Nuage de Crocs, prostré à quelques longueurs de queue de leur position, les cernes brodant ses yeux et piquant du museau à intervalles réguliers.

- Machin Croquant, le hélait-il, avant que ton pauvre petit crane se trouve coincé dans une motte de sable, je te conseille vivement de nous suivre !

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Patte Dodue
fiche ~ liens ~ Carnet
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Les crocs du maquereaux bousculer par les feuilles - abandon Patte_10

Merci à Calice pour cette magnifique signature :keur:

et à Uwny pour ce Vava en chocolat hug

▬ Guerrière

Les crocs du maquereau bousculer par les feuilles.

Le novice avait une fois encore passés une mauvaise nuit, mais cette fois, nul cause aux cauchemars qui régulièrement venait le hanter. Non, son cauchemars à lui avait une fourrure aussi épaisse que la sienne, d'un coloris noir et blanc et un goût prononcés pour les mauvaises blagues. Oh bien sur, les épines dans le nid, elle avait déjà fait et avec sa fourrure épaisse, sa sœur avait regretter que Crocs n'y réagisse pas. Mais cette fois, elle était aller plus loin, cachant sous la litière du brun une épaisse couche de vase qui avait finit par rendre sa litière humide, donc désagréable et la nuit étant sans lune, le garde à l'entrée du camp avait refusé qu'il s'éloigne, se moquant bien de son mauvais sort au passage. C'est que, Muguet avait agacée bien des félins alors que même Crocs soit victime de sa sœur faisait bien rire ... Au grand damne du brun qui s'était promis de le faire payer à sa cadette.

Alors quand une vois le héla, il relava la tête, peinant avant de soupirer en découvrant le guerrier. Il ne le connaissait pas où prou mais déjà, il sentait que cette journée aller mal tourner. Entre manque de sommeil et irritabilité, le fait que son nom soit écorcher était un point négatif de plus au tableau. Et si Maquereau avait cette chance d'être son aîné et donc, mériter normalement un certain respect, Crocs savaient aussi que de patience, il n'en aurait guère aujourd'hui. Rejoignant le matou et Nuage de Feuilles, le novice décida donc de répliquer, pourtant d'une voix neutre, pour le moment ...

- Je suis là, Truc à Écaille ...

Un prêter pour un rendu en somme alors que l'imposant novice jeter à Feuilles un regard, se demandant bien ce que le guerrier attendait. Puisqu'il n'avait pas prêter oreilles plus tôt, leurs conversations ne le regardant pas du fait.

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Les crocs du maquereaux bousculer par les feuilles - abandon 8clv

Spoiler:

Avatar par Fira & Hécate :keur:

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