[Procès] L'exemple pour tous - end

Mon paternelle n’était qu’une nuisance, mais je ne m’en rendais compte que maintenant. Toute ces lunes aveuglées par une envie d’être reconnue par lui, pourtant je le savais, il n’était là que pour le profit, il ne faisait rien, ne chasser pas, ne combattait pas. Preuve étant qu’il n’avait pas participé à la bataille avec le vent. Beaucoup des nôtre c’étaient fait un devoir d’y participer pour le bien du clan, mais lui, non il avait préféré rester là à roupille bien au chaud. C’était à en vomir, comment pouvait-il garder la tête haute ? Je ne comprenais pas ce concept. N’avait-il pas reçu le même entraînement que nous tous ici présent ? N’avait-il pas juré de suivre le code et de rendre honneur et assistance au clan ? Il était blindé d’acier pour continuer à vivre d’une telle manière sans était choquant et en même temps impressionnant. Mais tous cela n’était que secondaire.

La voix forte, froide et haineuse du meneur retenti, me sortant de ses pensées fugaces. Que devait-il faire ? Qui avait-il à faire ? Il c’était lui-même désigné comme traître, apportant un sang mêlé dans le campement de l’ombre. Je jetée un regard étrange à mon frère… Les briques c’étaient enfin mise en place. Mais je n’arrivée pas encore à comprendre ou je ne voulais pas encore l’accepter. J’entendis la voix forte de mes compères annoncer qu’il fallait le remettre à sa place. Une voix en particulière attira mon attention, je tournais le regard du côté de Fine Terre, à côté d’elle se tenait Grain de Sel… Mon oncle… Le frère de… ce traître. Il ne prenait même pas la peine d’avoir un air peiné, de découvrir la nouvelle, il n’y avait aucun choc. Seulement, une sorte de réjouissance. Cela me mis en colère bien plus encore. IL savait et n’avait jamais rien dit. IL savait et n’avait jamais pris la peine de me prévenir.

Je reportai mon regard sur la scène se déroulant devant moi, gardant un silence obstiné. J’aurais pus t’en de chose, mais à quoi bon de toute manière, la sentence avait déjà sonné au moment où il avait été appelé à comparaître devant tous le monde. Ce qui s’ensuivit fut rapide, bien trop pour que quiconque ne puisse réagir. Je vis du coin de l’œil un éclair brun disparaître de mes côtés et s’élancés vers le centre. Nuage Embrasé a agi, il se retrouva sous notre géniteur et s’élança tel un serpent vers sa gorge. Le rouquin avait décidé pour le clan, le traître ne pouvait pas vivre. J’écarquillais les yeux devant le spectacle devant moi, je le savais à sang chaud, mais pas au point d’agir lors d’un tel rassemblement. La peur s’insinua en moi face à son acte. Mais je rester accroupie au sol, les oreilles en arrière, je ne m’approchai pas de Fine Terre pour y trouver du réconfort.

Les voix se turent face à cet tuerie rapide et net. Nuage Embrasé leva sa tête est observa autour de lui, hagarde et terrorisé. Après tous maintenant que le problème du traître avait été prématurément réglé qu’aller-t-il advenir de lui ? Il n’était pas un ombreux à part entière, son sang n’était pas pur. Qu’aller faire les autres face à cette vérité révélée ? Dent de Sabre s’approcha de Braise dans intention de lui venir en aide, affirmant qu’il ne devait pas être seul pour affronter cette situation. Quant à moi je ne savais pas trop quoi faire, quoi dire. Je n’étais plus proche du félin depuis notre entrée dans l’antre des apprentis. Il m’avait montrée à plusieurs reprise le désintérêt total qu’il avait envers moi. Mon cœur se durci et avec un regard froid pour lui, je me levé dans le but de me détourner de cette calamité. Mes oreilles droites comme des i écoutèrent les dernières paroles du meneur. Il n’aurait pas le rituel du départ et l’autre rouquin devait le suivre dans son antre. Je jetée un dernier regard sur les silhouettes de Maudit et Braise. Intérieurement, je me disais qu’il avait mérité ce qui lui arrivait et qu’à partir de cet instant je ne me préoccuperais plus de sa vie. S’en était fini de la jeune idiote qui tentait en vain d’obtenir l’attention de personne qui ne semblait finalement que la mépriser. Je m’éloignais sortant du coup, fuyant l’odeur acre et métallique du sang. Je ne rentrerais que lorsque j’en aurais envie.