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Sujet: Re: [Naissance] "C'est la vie !", say the old folks - abandon 17.03.19 19:48
naissance & des neveux
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Tout se passe bien trop vite, et à la fois de manière si lente, les gémissements de douleurs de ma sœur, les inquiétudes sourdes de mon presque frère, les regards curieux et pépiements des curieux, tout s'étire dans un brouillard coloré ; je n'entends pas grand chose, pas très bien, concentré que je suis à chasser les secondes et à calmer les douleurs. Le premier petit arrive, blanc comme neige, pur comme les cœurs de ses parents, et si frêle, si fragile. De l'argile à manipuler avec précaution, pour le former à la hauteurs de nos idées. Lenlen babille, les endorphines doivent prenant le relais pour une descente dans un paradis artificiel fait de coton et de placenta. Je ne réponds pas, non, trop concentré, toujours. Moi aussi, je donne la vie, moi aussi, je suis mère. Moi aussi, je suis père, je pense un peu à Feulement, dans un éclair tendre, je dois lui présenter sa famille agrandie.
Et puis c'est la fin. Et puis trois vies se sont ajoutées dans notre vaste monde, et trois vis dans mon âme. Et puis Grain de Sel leur donne de beaux noms, et puis notre Étoile sort de son brouillard noir pour se feindre d'un encouragement, et puis Braise est là, et je ne sais pas vraiment pourquoi, et puis j'attends mon fils, et le repos, et qu'ils partent et que je vois ma sœur, enfin. Le temps a filé entre nous, pendant sa grossesse, et j'ai tant de choses à rattraper.
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cc:
ct le soigneur le plus rapide du monde en terme de texte, et la joueuse la plus lente en terme de réponse
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Sujet: Re: [Naissance] "C'est la vie !", say the old folks - abandon 19.03.19 15:56
Feulement se reposait au fond de la tanière du guérisseur, antre de son père, refuge saint qui lui offrait paix et réconfort.
Il se plaisait à observer le soigneur aller et venir au rythme des demandes de ses patients. Nulles mots n'avaient besoin d'êtres échangés. Le silence était confortable et la silhouette élancée du grand gris apaisante.
Une ambiance si calme que le jeune guerrier se surpris à somnoler lorsqu'il réalisa qu'Esprit Soucieux conversait avec un autre félin. Le temps qu'il revienne parfaitement à lui, l'envoyer des étoiles avait filé avec son ami.
Le prince déchu jugea préférable de ne pas quitter son coin. Il n'allait pas non plus suivre le guérisseur dans chacune de ses activités.
Toutefois, lorsqu'il remarqua l'agitation qui se formait au sein du camp, sa curiosité fut piquée. A la limite de l'inquiétude il se posa à la sortie de la tanière. Yeux rivés vers l'attroupement qui se formait au niveau de la pouponnière.
Ce fut le déplacement d'Étoile Maudite qui le poussa enfin à rejoindre le groupe de chats. Si le chef lui-même venait jeter un coup d'œil, alors cela devait-être important.
Ses oreilles ne récupérèrent que quelques mots qui s'évadaient entre les branchages de la nursery alors qu'il s'approcha doucement, amenant son imposant corps en direction de son père adoptif.
" Qu'est-ce qui se- "
Ses yeux ambrés se posèrent alors sur le ventre rond d'Esprit Lent, puis sur les trois boules de poils qui se pressaient contre son flanc. Nuages de Crocs et Grain de Sel étaient présents aussi.
" Oh. "
Il finit par se poser à côté de Soucieux, s'enfermant dans le silence alors que leurs deux pelages s'entremêlèrent. Il n'y avait bien qu'avec le gris qu'il supportait, et encourageait même parfois, le contacte physique.
Messages : 127 Date d'inscription : 21/07/2018 Age : 24
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Sujet: Re: [Naissance] "C'est la vie !", say the old folks - abandon 26.03.19 17:51
PNJ joué : Belle d'Iris Code couleur : #cc6600
La gueule encombrée d’un fardeau boisé, et d’une mousse humide gonflée d’eau, Belle d’Iris se tenait à l’orée du camp, fébrile. Tandis que son port altier et sa contenance habituelle démentait son excès d’agitation manifeste, sa queue furibonde brassait l’air avec impatience et courroux. Ses longues oreilles pivotaient sur son crâne, à l’affût d’un pépiement parasite, prompt à l’alerter d’une naissance incessante. Aussi, ses membres drainés d’accalmie, enraidis d’inquiétude, menaçaient de révéler ses griffes d’ivoires au clair, le tranchant au qui-vive en quête d’une jugulaire de substitution. Soucieuse qu’un moindre mal tire à profit l’ivresse ambiante du camp pour s’en emparer, Belle d’Iris labourait la terre à grand remous, son cheminement quadrillé poursuivant son sillage pressé.
Les accouchements appelaient à la vulnérabilité, érodant la prudence coutumière des guerriers, au gré d’un excès d’effervescence légitime, lorsque la Clan se regarnissait de futures recrues. Ainsi, synonyme de prospérité et d’un regain de vigueur, la floraison des premiers bourgeons félins en pleine santé, comblaient l’édifice clanique brisé, altéré par les pertes hivernales par leur présence expansives et affamées. Toutefois, nombre de ses pairs se délectaient de la gaieté amorcée par la maternité, à défaut d’en considérer son fardeau et d’en évaluer la responsabilité. Car il ne fallait guère vexer le cadeau résulté des Etoiles ! Et quel cadeau ! Les marmots piaillaient la famine à gorge déployée, quêtaient l’affectif maternel comme d’un second souffle, et encombraient la pouponnière d’une fragrance chétive et d’un fumet fragile. Autant d’appâts et proies faciles réunies au creux de la crèche, comme d’un seul butin amalgamé. Bon appétit, comme on disait ! Il fallait cesser de se fourvoyer quant aux démonstrations d’allégresse réprouvée par l’avènement de chatons aux attraits poupins. Le Clan des Etoiles ne laissait jamais rien au hasard ; une source de plaisir s’entichera toujours d’une contrepartie empreinte de douleur, dénuée de tendresse. Les faiblards trépassaient au profit de la rudesse gaillardie d’éloquence de leurs aînés ; ces derniers se détournant du joug totalitaire de la sélection naturelle aux sentiers morbides, prête à les dévorer.
Les enfants d’aujourd’hui deviendraient les adultes de demain ; ceux qui mutilaient l’autorité sauront, un jour, la manier avec maturité. Belle d’Iris tentait à moindre mesure de convaincre son optimisme carencé, que la quiétude perdurerait, en vain. Mais comment un nourrisson pouvait-il parvenir à maturité, si leur propre mère pataugeait encore dans l’innocence et la candeur, marre stagnante propre à l’enfance ? La Simplette d’esprit s’accommoderait-elle d’un tel fardeau ? Serait-elle à la hauteur des exigences qu’il convient à une mère d’exercer sur ses chérubins, une éducation adéquate ? Saurait-elle recadrer aux moindres travers ? Gronder les fautes ? Féliciter les exploits ? Inculquer les valeurs claniques ? Aussi, les enfants d’Esprit Lent ne se souffriraient-ils pas du défaut mental de leur mère, dans un futur proche, à défaut d’en être totalement expié ? Comment rehausser la valeur d’une gamme frivole de petites tares, si leur prime fierté ne se limitait qu’à amputer la réputation du Clan de l’Ombre, par leur manque cruel de lucidité ? La tribu se suffisait bien assez de leur condition d’affamés rachitiques, pour convoiter l’excès de zèle, et le manque de d’intégrité quant à la loyauté promise à leurs pairs. Assez de s’appesantir de traîtrise superflue, et de minets égoïstes pervertis par le confort d’une vie douillette, au gré de la paresse tant désirée.
Par ailleurs, Belle d’Iris ne manqua guère de s’enquérir de la noble charge à laquelle son fils devait s’assiéger, s’y attelant avec force d’élan et d’assiduité, à l’image de sa reconnaissance pour son Clan. A cette pensée, sa babine s’étira en un demi-sourire, sardonique : un jour, elle finirait étouffée sous sa propre ironie. A quelques longueurs de queues s’étalait la silhouette malingre d’Ecaille de Maquereau paresseusement endormi, les flancs repus, soulevés au rythme de sa respiration sifflante, quêtant le sillon de chaleur glané au gré du soleil de midi. La babine retroussée, sa grimace désabusée rida un quart de son joli minois aux attraits princiers. Tssssk, ridicule. La frustration vînt attiser les flammes dans ses prunelles incandescentes, tandis que la déception meurtrissait déjà son cœur chargé d’amertumes, menaçant d’exploser sous l’étau rouillé qui l’étreignait. D’un revers de flancs, Belle d’Iris renfila incessamment son masque guindé de fioritures honorifiques, pour évincer les larmes qui perlaient sur l’angle de ses yeux. Malgré sa robustesse et sa faculté à reprendre contenance, la femelle d’ébène chemina jusqu’à la pouponnière, la démarche saccadée comme éprise dans un étau de ronces, dont il fût impossible de se dépêtrer. Sa tête dodelinait malgré elle, harassée par la lassitude. Oscillant entre la décontenance et le désespoir de cause, Belle d’Iris soupira son excès de pessimisme, au détour d’une pensée indélébile et flagrante de vérité : Même les meilleures mères ne parvenaient guère toujours à lustrer l’éducation de leurs enfants. C’était indéniable. Désormais adulte, Ecaille de Maquereau promettait d’être un traître à sa tribu, à perpétuité. Sa paresse en prime preuve. Qu’elle tare ce gamin ! Il lui gâcherait ses beaux jours jusqu’à la fin des temps, assurément ! D’aucun guerrier ne s’avérait-il rentable, au sein de ce clan ?
L’air saturait au creux de la pouponnière, moite et imprégnée de lait. La barrière dentelée de ronces et tissée de fougères bordaient toute l’envergure du dôme, et protégeaient ses hôtes des menaces susceptibles de leur porter atteinte, à défaut d’en aérer l’habitacle. Sitôt attroupée au sein de la calotte, Belle d’Iris se pressa d’inhaler avec ferveur les émanations lactiques de la pouponnière, afin de ressourcer ses sens olfactifs de cette saveur sucrée, si particulière. Souvent, les relents nourriciers tendaient à la rendre gâteuse, tant ils remuaient une salve souvenirs heureux, et désirs refoulés. Belle d’Iris aurait aimé élire domicile au sein de nurserie, si ces chances de procréer ne se limitaient guère qu’à une multitude de portées infructueuses. Aussitôt, elle chassa d’un revers symbolique de la queue, la perspective d’une seconde rasade de réflexions nocives, droguée au pessimisme.
Et ironiquement, Etoile Maudite tenait compagnie à la mise-bas de l’une de ses plus fidèles guerrières, comme il fût d’usage d’y assister. Qui médit de son clan récolte la tempête de son représentant ! Quoi que ces temps derniers, le clan de l’Ombre pâtissait des déboires familiaux de son chef, souillant son habileté à gouverner autant que sa figure d’autorité. Un manque cruel de rigueur, dont Belle d’Iris ne parvenait guère à pardonner. La survie de son clan primait sur l’assentiments de ses déceptions personnelles, non l’inverse.
En effet, son chef réprouvât à user de ses dons correctement, autant qu’il parut battre de l’aile quant à s’adonner à ses fonctions. Ses décisions étaient aléatoires, et ses réactions désordonnées, perdues dans une palette brouillée d’émotions versatiles. Etoile Maudite se perdait, seul responsable de son propre malheur, courant à sa perte, sans sursis. La carapace barricadée aux valeurs morales et à dignité sans failles, tendait à se consumer sous la surcharge de culpabilité qui écrasait son dos courbé. Défaillant. Voilà ce que révélait l’allure éteinte et les yeux mouillés d’Etoile Maudite. Ô, Etoile Maudite, quel genre de combat sanguinaire ton esprit mène-t-il ? Batailles-tu pour conserver ton intégrité, au sein de ton clan ? Souhaites-tu transmettre ces valeurs au détour de cette image falsifiée de toi-même, aux prochaines générations, que tu couves d’un œil larmoyant ? Voulait-on réellement d’un chef faiblard, influençant son ascendance sur autrui, par un excès d’émotivité ? Si seule sa culpabilité motivait ce comportement outrancier, Etoile Maudite méritait un bon coup de griffe !
Car en termes de souffrance soupesée par son lot succin de deuils, Belle d’Iris détenait un tel palmarès, qu’elle en aurait pu destituer son chef de ses attributions oisives, pour en quêter la place ! Ne serait-elle pas meilleure guide, après tout ? L’entièreté de sa famille eût trépassé au détour du blizzard, et l’ultime descendant traînait de la patte pour se démarquer d’inutilité. En clair, il était quasiment mort, à ses yeux. Finalement, n’obtenait-elle pas plus de légitimité en termes de résistance et force d’esprit ? Mais trêves de bavardages ! Belle d’Iris balaya sa pitié d’un pivot d’oreilles sur son crâne, et démentit sa mine déconfite, d’un coup de langue savamment lissé sur son poitrail en bataille, sur lequel une écharpe de poils dressés, s’éveillaient.
- Bonjour, ma jolie ! Claironna Belle d’Iris, soupirant d’aise. Éprise dans un élan affectif corroboré de fierté, la femelle d’ébène lapa le haut du crâne de sa comparse, entre les deux oreilles, pour lui agréer ses plus sincères félicitations. Sluuuuuuurp ! Aussitôt fronça-t-elle les traits et renfonça son menton sous sa croupe, décontenancée par la sincérité de sa gaieté. La spontanéité ? Très peu pour elle. Le reflux nourricier maternel, émanant des tétines pleines et gonflées d’Esprit Lent avait-il achevé sa complète lucidité ? Elle se racla un instant la gorge avant de reprendre, au gré de la bienséance et politesses d’usage : Comment te sens-tu ?
Malgré sa retenue forcée, ses babines s’étiraient d’elles-mêmes, comme pour céder à la joie et quiétude, parasitant toute la pouponnière. Son esprit se trouvait perclus dans les méandres d’un nid de coton, ses émotions noyées et son pessimisme étouffé au revers d’un air béat dépeint sur ses traits, et un sourire mutin pendouillant au creux de ses stigmates. Il semblait que rien ne pouvait venir troubler son bonheur manifeste à cet instant. Aussi noua-t-elle ses mirettes empruntent d’une chaleur diffuse, à celles bleues azurées et naïves de sa comparse. Esprit Lent était d’une telle composition, qu’elle lui pardonnerait bien ses travers intellectuels. Peut-être qu’en s’étant acoquinée avec son fils, la descendance à cette issue aurait été glorifiée par les plus beaux traits de leurs parents ?
- Si tu as soif, je t’ai apporté ceci, elle désigna la mousse gorgée d’eau -qui commençait à s’en tarir, par ailleurs- d’un mouvement souple de la queue. N’hésite pas à me solliciter, si tu as besoin de quoi que ce soit, d’accord ? Ajouta-t-elle encline à la délicatesse.
Non, Grain de Sel -son digne cousin- relevait bien assez l’équité de leur union. Par ailleurs, Belle d’Iris opina du chef à l’insu du guerrier, agréant ses sentiments respectueux et ressentiments pour accompagner sa fierté. Car il y avait de quoi ! Belle d’Iris se surpris à dresser son dos courbé, et bomber le poitrail au regard des deux grandes oreilles déjà tendues et disproportionnés, de Patte Pure. Ceux-ci sont bien de la famille !
- Bienvenue chez nous, Patte Pure, Petite Lumière et Petite Jade ! Congratula-t-elle, d’un ton léger nuancé par l’euphorie sur quelques syllabes. Vous pouvez êtres fiers de vous, ces enfants seront vous le rendre, je vous le promets, termina-t-elle finalement, la parole à cœur et la symbolique solennelle.
Cette fois, c’était certain, elle perdait la boule.
Merci à Calice pour cette magnifique signature et à Uwny pour ce Vava en chocolat
Fleur d'Aubépine ▬ Guerrière
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Sujet: Re: [Naissance] "C'est la vie !", say the old folks - abandon 02.04.19 15:10
"C'est la vie !", say the old folks.
Dès lors que sa mère de cœur le vit et l'invita à venir, le jeune félin se coula dans la pouponnière, non sans s'assurer de pouvoir se précipiter au dehors rapidement si jamais les choses tourner mal. impressionner par la guerrière et la vie qu'elle donnait, il n'en dit pourtant mot, se tenant non loin, un peu à l'écart, tendant néanmoins le cou pour offrit un léger coup de museau encourageant à Esprit Lent qui lui paraissait rester joie incarnée malgré la mise bas. Oh non, clairement, l'apprenti n'avait imaginer cela mais à mesure qu'il découvrit à son tour les chatons, un léger ronronnement heureux s'échappa de sa gorge. Il avait des cadets à surveiller, une famille plus grande ! Et aussi davantage de responsabilité qu'il s'imposait secrètement. Oui, ses petits là aurait besoin d'un bon exemple. Mais en scrutant dehors, le félin fut attristée de ne pas y découvrir sa jumelle, laquelle aurait du être là, avec eux ... Pourtant, à écouter les miaulements de félicitation, les noms, il revint poser ses yeux vert sur les tout petits avant de miauler, presque timide.
- Ils sont si petits ! Si beau aussi !
Oui, malgré son plaisir évident, il parlait avec toute la douceur dont il était capable, pourtant, alors que le meneur du clan se frayer un passage, Nuage de Crocs se senti subitement de trop, comme si, malgré son appartenance au clan, à cette famille qui grandissait, il n'était pas tout à fait à sa place. A moins que ce soit l'espace restreint de la pouponnière ? Qui plus est, d'autres curieux venaient déjà découvrir les nouveaux habitants du clan et le novice en profita pour se couler hors de l'antre bien chaud d'où une agréable odeur de lait recommencer déjà à flotter. Il faudrait néanmoins un peu de temps, il le savait, pour qu'elle chasse le parfum plus ferreux de la mise bas mais ça, il n'en avait cure. Après un dernier regards sur les chatons, il avisa Feulement, qu'il salua de la tête, cherchant pour sa part celle qui manquait le plus à ce tableau. Nuage de Muguet.
HRP:
Out pour Crocs qui laisse les jeunes parents à leur bonheur
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Spoiler:
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Sujet: Re: [Naissance] "C'est la vie !", say the old folks - abandon 04.04.19 14:27
"C'est la vie !", say the old folks (23)
Les visiteurs commençaient à affluer, en commençant par le passage court mais marquant d'Etoile Maudite. Son regard se ralluma le temps qu'il le posa sur les chatons, adressa des félicitations, puis il se ré éteint aussi vite. Si lui avait perdu sa lumière, Esprit Lent, elle, devint toute lumineuse. Elle m'avait souvent confié comme ses discussions avec son ami lui manquait, comme si les responsabilités les avaient éloignés. Je la comprenais, mais je comprenais aussi le rang chronophage qu'était celui de meneur. J'espérais qu'il prenait au moins du temps pour sa famille. Je regardais mes trois nouvelles prunelles. Moi, je prendrais le temps si jamais de grandes responsabilités devaient arriver. Je reserrai mon étreinte contre Lenlen, mais les chats furent de plus en plus nombreux et commencèrent à briser le bonheur de cette réunion familiale. Il y avait certaines paires d'oreilles que je ne voulais pas voir. Nous commencions à être sept ou huit chats dans la pouponnière tout juste faire pour les reines et leurs chatons. J'allais devoir en chasser quelques uns. Je fixai les oreilles rousses jusqu'à ce qu'elles puissent brûler, mais une silhouette noire me distrait. Mon regard s'adoucit et j'accueillis ma cousine d'un sourire chaleureux, la remerciant de ses compliments.
Mais bon, or de la famille, il y avait trop de chats. Je me raclai la gorge pour attirer l'attention.
" BON il ne faudrait pas surcharger la nouvelle mère ou contaminer les nouveaux nés, j'aimerai que seuls nos proches restent. "
J'appuyai mon regard sur Souc' et l'orientale noire, considérés comme proches. J'allais même être concilient et laisser Nuage de Crocs rester, mais il prit lui - même l'initiative de partir. Je baissai ma tête pour lui dire au revoir, à ce sang de lune qui faisait le plus possible pour se purifier. Bientôt, il atteindra l'acceptation totale, parmi nos rangs, comme un de nos égaux. Feulement... je savais que je n'avais pas trop de pouvoir sur lui. Souc' avait décider de le garder sous son aile pour le garder sur le droit chemin, ce que je respectais. Il était comme son "fils", alors je ne pouvais pas le chasser. Peut - être prendra - t - il la décision tout seul, remarquant qu'un chat énorme comme lui prenait de la place dans l'abri des chatons. Et je ne daignais même pas daigné de l'attention au fils de celui que j'avais renié. Il commençait seulement à faire ses preuves, on ne savait rien de lui, rien de ce qu'il était capable de faire. Espérons que le bon sang ait trouvé son chemin. Il lui faudrait du temps, à se dépêtrer de l'impureté de Faucon Fugueur et du sang du Tonnerre.
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Sujet: Re: [Naissance] "C'est la vie !", say the old folks - abandon 07.04.19 20:54
naissance & des neveux
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Trop de gens, on suffoque ici ; il faudrait creuser une tombe dans les airs pour y coucher à son aise. Iris arrive, de l'eau dans la gueule et des ondes néfastes dans le poitrail, je ne la sens pas. Grain de Sel élève la voix, il a de la joie dans le creux de ses vocalises, dans le reflux de son flot de paroles, mais aussi des fins de panique qui s'enroulent en longs filaments, et de la fatigue qui sourd. La tanière se vide peu à peu, on respire à nouveau.
Je prends enfin le temps de les regarder, mes neveux et nièces, les enfants de ma sœur, tous nimbés de sa lumière sépulcrale, et bénis par son grand sourire de madone ; les enfants de mon meilleur ami, le plus pieu de tous les chats, le meilleur pour Lenlen. Le meilleur pour le Clan. Je les regarde, la relève de l'Ombre. Enfin, la deuxième vague.
Après Feulement. Lenlen, Saloulou, je suis très heureux de rencontrer vos enfants. J'vais chialer putain. Maintenant, je, je - je voudrais que vous aussi, vous rencontriez mon fils.
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Sujet: Re: [Naissance] "C'est la vie !", say the old folks - abandon
[Naissance] "C'est la vie !", say the old folks - abandon