[Flash-Back] Lunes d'apprentissages.[Pv Amour-En-Cage] - end

HRP :

Lunes d'apprentissages

Premier jour.

Disparue. Nuage de Menthe, son apprentie n'avait guère partager de temps avec elle, et voilà qu'on était venu lui annoncer que la toute petite et fragile Nuage d'Amour aller lui être confier. Sans vraiment lui laisser son mot à dire. De toute façon, la siamoise n'en avait pas eu la force. Si Menthe n'était plus, cela ne pouvait vouloir dire qu'une chose. Elle s'était trompée. Les étoiles n'avait pas accepter son choix. Un test de plus. Où ... Elle secoua la tête. Elle perdait sa foi, elle le sentait. Mais elle ne devait pas, jamais, montrer cette part d'elle. Celle qui état blessée, celle qui cesser chaque jour de croire. Alors la siamoise s'assit, droite, attendant que son apprentie vienne à elle. Car s'était le grand jour. Et l'aube pointait seulement.

Oui, ce matin, Nuage d'Amour quitterait définitivement la tanière des apprentis pour la rejoindre. elle lui parlerait du code, le sacro-saint code ... Celui qu'elle avait bafouée, par ... Par amour. Un sourire ironique traversa sa face, éclairant son regard saphir. Elle devrait apprendre à sa novice un respect rigoureux. Pour le salut du clan. Après tout, elle rejeté, que pouvait elle espérer d'autre que de former au mieux son successeur ? Parce que Secret du Firmament aimer son clan. Aimer ses camarades, même ceux qui n'étaient hélas plus. Et surtout, la siamoise s'était promis de réparer son erreur. Pour que le clan n'en soit pas pénaliser. Elle attendait donc, sachant que sans doute, la novice mettrait du temps avant de se lever. Parce que sa vie aller être bouleverser. Parce qu'au soir, les deux chattes ferait la route vers les hautes-pierres, vers la présentation officielle de la nouvelle apprentie guérisseuse ... rester a Firmament à espérer que les étoiles lui viennent en rêve, à elle, Nuage d'Amour. Celle en qui la siamoise mettait ses espoirs ... pour le bien du clan.

Lunes d'apprentissages

Premier jour.

La siamoise observa la novice venir à elle, à pas lent, mesurée, comme hésitant malgré le sourire qu'elle avait sur la face. Comme si, elle avait peur. Et La guérisseuse pouvait le comprendre. On lui imposait un changement de vie. On les imposait l'une à l'autre en quelques sorte. mais peut-être, oui, peut-être son oncle y avait il lu un signe qu'elle-même n'avait sus voir ? Ne pouvait plus voir. Secret du Firmament avait souri, s'était comme animée quand on lui avait dit que l'apprentie ne pourrait devenir guerrière. Une façade, au fin fond d'elle, elle pleurer encore Nuage de Menthe, si tôt envolée ... Et voilà que de nouveaux yeux la toisait. Des yeux bleus.

- Bonjour Nuage d'Amour. Je suis Secret du Firmament et nous avons, je crois, beaucoup à nous dire. Viens, approche.

Ne pas montrer son amertume, ne pas montrer le froid qui vivait en elle de se plier à des codes en lesquels elle avaient crus, en lesquels, elle croyaient encore finalement. Mais là haut, c'est en elle qu'on avait, semblait-il, cesser de croire. La siamoise se leva et s'éloigna un peu de son propre antre, pour entraîner Nuage d'Amour un peu à l'écart, contre la barrière de ronce où un mulot les attendaient. Premiers repas, de quoi rendre plus chaleureux les présentations. Et la siamoise invita l'apprentie à commencé le repas, s'allongeant pour sa part de façon détendu, veillant à ne pas détailler la petite qu'elle avait vu grandir. Et une fois que les deux femelles furent installée, Secret du Firmament décida d'attaquer le vif du sujet.

- Avant de te former, il faut que je sache. Veux tu seulement devenir guérisseuse où ... Accepte tu parce que ton mentor te crois incapable de devenir guerrière. Aimes tu te battre ? Aimes tu chasser ? Je sais que ça fait beaucoup Nuage d'Amour mais, je ne veux pas t'imposer cette vie, ma vie.

La guérisseuse baissa légèrement la tête, sa voix était devenue de plus en plus douce et son regard s'était, un instant seulement, voilée. Avant qu'elle ne se penche pour prendre une bouchée du gibier, espérant ainsi mettre plus à l'aise la novice en lui offrant de se nourrir ensuite. Et comme si la chatte avait besoin d'en apprendre plus, elle ajouta, veillant à ne pas brusquer la colourpoint face à elle.

- Être guérisseur, c'est vivre seul dans son antre et tout à la fois, sans cesse avec nos ancêtres. C'est aussi ne jamais prendre de compagnon, ni avoirs de petits. Le clan comptera sur toi et tu devras donner ta vie au service de ton clan. Tu seras la messagère des étoiles auprès de ton chef. Mais surtout, tu seras la première au chevet des autres, celle qui voit leurs yeux se fermer à jamais aussi. Tu en as peut-être les épaules pour, où peut-être pas. Et je ne parle pas de ta taille, tu comprends. Je parles de ta tête, de ton cœur. Tu verras la détresse de tes compagnons, leurs espoirs, et parfois, tu devras prendre sur toi car il arrive ... que les guérisseurs ne puissent rien faire. Ce que je veux te dire Nuage d'Amour, c'est qu'avant d'aller à la pierre de lune, je dois être certaine que tu veux de cette vie. Que tu est prête à passer chacun de tes jours au milieux des plantes, à supporter la douleur des autres sans montrer la tienne. Car ça arriveras et tu devras alors garder ton sang-froid ...

Car Secret du Firmament ne voulait pas que son apprenti regrette sa voie. Comme elle s'était mise à regretter. elle aurait pu être guerrière, elle était très bonnes chasseuse. Il n'y avait que les batailles pour ... Et pourtant, aujourd'hui, si on le lui demander, elle aurait affronter le plus gros des blaireau pour défendre ses petits. Comme elle était prête à défendre n'importe lequel de ses camarades de clans. Mais voilà, elle avait une famille même si ses trois chatons l'ignorait totalement ... Et pour que le clan du Tonnerre est le guérisseur dont il avait plus que besoin, un guérisseur en lien avec la toison argenté, elle était prête à chasser la pauvre Nuage d'Amour si la novice lui affirmer ne pas vouloir de cette vie. Car son erreur à elle ne devait jamais se reproduire.

Lunes d'apprentissages

Premier jour.

La siamoise gardait la novice à l’œil, sans en avoir trop l'air malgré tout. Comme si elle lui laissait l'espace dont elle aurait besoin. Son premier choix avait fini en fiasco, si Nuage d'Amour lui était envoyée des étoiles, elle devait faire de son mieux. Elle n'avait pas de choix. Pour le bien du clan. Mais sitôt que la novice serait prête ... Alors la guérisseuse avait déjà pris décision. Oui, le moment venu, elle tournerait dos au firmament dont elle tenait son nom. héritage abandonner. Elle souhaiter au clan des Étoiles de ne point s'être trompée. De lui envoyer Nuage d'Amour réellement, et que ça ne soit pas là pour sa cadette un malheureux concours de circonstances ... Alors quand enfin la jeune se senti apte à répondre, toute l'attention de l'adulte fut sur elle.

- Notre famille.

La siamoise ronronna en réponse. Il n'y avait rien à ajouter, juste a garder espoir, car de la foi, Secret du Firmament en avait de moins en moins...

Le choix d'une vie.

La demi-lune. La première depuis que la novice été venue vivre à ses côtés et apprendre. Chaque jour, certains remèdes devenait de plus en plus reconnaissable quand bien même parfois, Secret du Firmament devait user de douceur et toute à la fois de force pour corriger son apprentie. Une erreur et de sauver une vie, on pouvait amener cette dernière vers sa fin. Pas toujours mais s'était un risque. Mais ce jour là, dès l'aube, la siamoise attendait le réveil de sa cadette. Voilà un moment déjà que Secret du Firmament avait fait tour des antres, s'assurant que tout un chacun aller bien, s'attardant longuement devant la pouponnière parfaitement endormi. et dès que Nuage d'Amour fut éveiller, la mentor pris parole.

- Un long voyage nous attend. Ton paquet d'herbe est prêt, avale les après ton repas. Oh et, profite en pour me rappeler les effets de chaque plantes.

Son regard était sérieux. oui, le moment était venu pour la jeune novice de rencontrer leur ancêtres ...

Lunes d'apprentissages

Le choix d'une vie.

Secret du firmament ferma les yeux sur un léger sourire en voyant Nuage d'Amour détaller pour lui obéir. Que ne pouvait elle être davantage sure d'elle-même. Assurée que cette fois ci serait la bonne. Qu'Amour était la bonne. Elle avait tant à lui apprendre. et le temps risquer de lui manquer si ... Elle ne voulait y penser. Nuage de Menthe n'avait pas était l'apprentie guérisseuse qui devait prendre sa place. Ses espoirs reposait sur la colourpoint parti se nourrir. Si les étoiles ne voulaient d'elle ... Non, elle ne pourrait laisser le clan sans guérisseur mais ... Mais le besoin de vivre pour elle avait fait plus qu'éclore. Peut-être ne supportait elle pas juste la distance avec Coup de Foudre, où celle avec ses petits, tout simplement ... Rapidement pourtant, les pas de la novice lui firent rouvrir les yeux et sourire tendrement à la jeune. Elle devait se montrer forte et confiante. La rassurée elle puisqu'elle ne pouvait se rassurée elle-même. C'est que, la siamoise avait appris à mentir après tout. Même si le poids du mensonge l’étouffer à présent un peu plus chaque jour. Mais elle avait un rôle à tenir et elle le tenait au mieux.

La siamoise caressa l'épaule de l'apprentie pour la féliciter. N'oublie pas les pâquerettes. Mais Nuage d'Amour avait déjà tant appris. Il était plus que temps de partir néanmoins et la siamoise pris la route, sans pressée le pas plus que nécessaire. La route serait longue et Nuage d'Amour devait garder des forces. Mais la novice était comme elle-même avait été. Bien plus âgés qu'un novice débutant son apprentissage. Un bon signe peut-être,. Mais elle refusait de voir le moindre signe, de devenir comme feue sa propre mère. Le sort était jeté, elle n'avait plus cas croire en Nuage d'Amour et espérée que le Clan des Étoiles accepterait la novice. Pour le bien du clan. S'était tout ce qui importait. Car Secret du Firmament commençait à regretter d'avoir un jour voulu devenir guérisseuse. Car si elle avait sauvée des vies, aider d'autres, elle le savait. Le clan finirait pas savoir. Elle ne pouvait s'éloigner de Coup de Foudre. Le Bengal lui était trop précieux. Bien trop pour qu'elle eu pu tenir ses vœux...

La montagne se rapprochait lentement, mais bientôt, le boyau obscure fut là. Le soleil était encore haut, si bien que la siamoise accorda à la novice une courte sieste. Puis la nuit vint, il était temps pour les deux chattes de pénétré et pour Nuage d'Amour de s'allonger contre la pierre de lune. Secret du Firmament n'assisterai à ce rêve, elle le savait déjà. Elle ne guiderait pas son apprentie. Elle ne le pouvait plus. Elle n'aurait qu'à attendre, gardant pour elle ses inquiétudes. Comme toujours ...

« C'est la dernière fois que nous nous verrons, Secret du Firmament. À ton réveil, ton lien avec les Étoiles sera brisé, tu seras aveugle, et qu'importe ce que j'essayerai de faire je ne pourrais jamais communiquer avec toi. Tes nuits à la pierre de lune ne seront que des nuits froides et vides, jusqu'à la fin. Mais par dessus tout, Secret du Firmament, tu vas avoir des petits. À partir d'aujourd'hui, tu n'es plus une enfant, tu n'es plus une adolescente, ton ancienne vie s'arrête ici. Tout va changer, il n'y a plus de retour en arrière. Qu'importe combien tu regrettes, ça ne sert à rien, car ça ne fera pas avancer les choses. Tu vas devoir réapprendre à vivre, et apprendre tes enfants à vivre. C'est une tache difficile et prenante, que tu ne pourras jamais mêler à tes obligations de guérisseuse, même si désormais, elles se limitent aux soins. Le temps est précieux, et il manque. »

Mirage du Désert ouvrit les yeux sur son monde de poussière. Les dernières paroles qu’elle avait pu échanger avec les vivants raisonnaient dans sa tête comme un écho incessant, douloureux. Il revenait plus vif que jamais chaque fois qu’une nouvelle lune se levait. Il revenait plus vif chaque nouvelle nuit sacrée où elle assistait, impuissante, à la vision douloureuse de celle qui fut à ses yeux comme sa fille, Secret du Firmament, allongée contre la pierre, aveugle, attendant que les autres guérisseurs ne terminent leur échange aux Étoiles. S’il s’agissait autrefois de moments qu’elle attendait avec impatience, elle les redoutait aujourd’hui.

Elle attendait chaque nuit près de la frontière qui les séparait de la Forêt Sombre, ne pouvant aller plus loin, espérant qu’Étoile de Suie pensait toujours à elle. Elle attendait là où s’était tenue sa dernière rencontre avec la guérisseuse déchue. Mirage du Désert se sentait responsable, souffrait tous les jours de ce qu’elle n’avait pu empêcher, de l’idée qu’à jamais son enfant serait malheureuse. En un sens, séparée de son amante et de son dernier lien avec les vivants pour l’éternité, le Clan des Étoiles était devenu sa Forêt Sombre.

Aujourd’hui était un soir un peu différent des autres : une jeune apprentie était en route pour les rencontrer, et ce serait elle qui l’introduirait dans ce qui deviendrait une nouvelle partie de son monde. Et elle le ferait ici-même, à l’endroit le plus sombre et froid des Étoiles. Cruelle décision, certes. Mais serait-il moins cruel de lui cacher la vérité ? De lui offrir la perspective d’un monde presque idyllique, celui de la guérisseuse toujours heureuse et sans frontière, qui soigne avec le sourire ? En devenant guérisseuse, ce qui se trouvait derrière elle, cette épée de damoclès suspendue à jamais au dessus de sa tête — l’interdiction d’aimer, d’enfanter, de savourer ce qui était offert à tous les autres, mais pas elle — ferait parti intégrante de sa vie, et elle devait le savoir.

Nuage d’Amour lui apparu, et aussi douce et chaleureuse que Mirage du Désert voulu lui paraître, elle ne parvint qu’à exprimer qu’un sourire triste, calme et douloureux. C’est tout ce qu’était devenu sa vie ici, depuis quelques temps. Ou plutôt, tout ce qu’était devenu sa mort.
« Ne crains rien, tendre petite fleur d’Amour, tu es au bon endroit. Sois la bienvenue au Clan des Étoiles. Puisse ta première visite être la plus sombre et difficile de toutes. »

Ne me donne jamais de raison de devoir te reparler ici-même, pour la dernière fois.

« Sois rassurée, poursuivit-elle d’une voix douce. Tes futures visites seront bien plus lumineuses que celle-ci. Néanmoins, tu n’es pas ici par hasard. Si j’ai choisi de— »

Mirage du Désert s’arrêta net. Elle avait oublié quelque chose. Quelque chose de fondamental, qui devait normalement passer avant tout le reste. Ah, oui. Merde.

« Ohlala mais je suis vraiment la première des connes. Oups, pardonne mon langage ! Les vieilles habitudes ont la vie dure. Je m’efforce de parler de façon plus... soutenue parce que c’est plus “mystique“ comme ils disent, tu sais, pour l’étiquette — et aussi car il y a beaucoup d’enfants, ici. Enfin bref, je ne me suis pas présentée. Tu ne dois pas me connaître, car je n’étais déjà plus là lorsque tu es venue au monde, Nuage d’Amour. Je m’appelle Mirage du Désert, mais on m’a surtout connue sous le nom de Vent du Désert. Je fus l’amante d’Étoile de Suie, la mère de beaucoup d’enfants, et j’ai d’ailleurs pris sous mon aile celle qui est aujourd’hui ton mentor. En les évoquant et en pensant à eux, son regard se rempli d’amour. Je suis morte en protégeant les chatons de la pouponnière lors d’une bataille contre le Clan du Vent. Pour être honnête, c’était vraiment... stupide de ma part. J’étais déjà blessée, je n’avais aucune chance mais....
Elle porta son regard vers le sol étoilé, espérant naïvement que son regard croise celui de Secret du Firmament, qui devait veiller sur son apprentie plus bas. La mort n’avait donné aucune seconde chance à Mirage du Désert. Les morts n’avaient donné aucune seconde chance à Secret du Firmament.
— Mais l’amour nous rend con, dirons-nous. L’amour rend stupide, aveugle, et souviens toi bien, petit bourgeon d’Amour, que si la vie est cruelle, la mort l’est tout autant. »

Petite Aubépine, la soeur de Curieuse Pénombre, ses premiers enfants, vint la rejoindre en trottinant. Prisonnière à jamais d’un corps et d’un esprit de chaton, elle n’avait jamais eu la chance de grandir. Et voilà qu’aujourd’hui elle étaient fatalement réunies. La reine aurait bien évidemment préféré que leurs retrouvailles se fassent dans d’autres circonstances, mais elle ne pouvait pas choisir. Elle avait protégé les petits, qui étaient aujourd’hui de grands guerriers capables de goûter à la vie. Elle regrettait souvent sa mort, mais savait parfaitement qu’elle aurait davantage regretté une vie de souffrance qu’elle aurait vécu à leur place, si elle les avait regardé mourir.

« Voilà tout ce pourquoi tu existes, et tout ce pourquoi tu ne peux goûter à l’amour, ajouta Mirage du Désert tout en serrant sa petite contre elle. L’amour a causé ma perte, a altéré mes choix, mais j’étais remplaçable pour le Clan. Je n’étais qu’une guerrière parmi les autres. Toi, en revanche... si tu meurs alors que Secret du Firmament n’est plus là, qui prendra ta place ? Qui prendra soin des enfants pour lesquels je suis morte ? Qui leur communiquera les messages des Étoiles lorsqu’ils en auront besoin ? Tu devras renier la vie qui t’était offerte, Nuage d’Amour. Cette vie et ce qui venait avec, pour le bien de ton Clan, et en respect à cette promesse sacrée des Étoiles. Sinon... »

La belle guerrière se tourna vers la Forêt Sombre. Sinon, voilà ce qui t’attend. Et ce n’est pas seulement toi qui en souffrira, mais tous ceux qui t’aimaient.

« Tu auras le droit d’aimer, mais tu devras aimer chaque membre de ton Clan de façon égale. Tous les enfants seront les tiens, tous les frères et les sœurs le seront aussi, afin que ton jugement reste à jamais impartial, et que tu ne traite jamais quelqu’un en faveur d’un autre. La vie qui t’attend sera parfois plus douloureuse que tout ce que tu aurais pu imaginer, plus douloureuse qu’aucun guerrier ne pourra la comprendre. Mais elle pourra également être épanouissante et grandiose... si tu es sure de ton choix. Alors, Nuage d’Amour, je te le demande : es-tu certaine de vouloir devenir guérisseuse ? De ne jamais regretter cette décision ? D’accepter cette vie et ces interdits ? Es-tu certaine de vouloir prêter serment avec les Étoiles — celui de servir ton Clan jusqu’à la fin, d’en soigner chaque membre, de les mettre au monde ou de les accompagner dans l’agonie ? Celui d’être le messager de tes ancêtres, et d’être le lien qui nous uni à vous ? »

Par Cacaille la plus belle