LP - L'histoire du serpent qui se mord la queue - PV Venteuse/Alizé & Foehn - abandon

L'histoire du serpent qui se mord la queue.

Il était grand-père, le guerrier avait toujours un peu de mal à l'accepter. Son fils, Crocs Nacrés avait finit par avoir des petits avec Brise Argentée, et si la nouvelle ne l'aurait pas surpris si elle était venu de Guépard, elle le laissait perplexe concernant le jumeau. Ses deux fils ignorer tout de leurs parenté réel et si le mâle prenait grand plaisir à semer le doute, il avait compris à la naissance de ses trois chatonnes, ses petites-filles, que son secret était en danger. Et le danger portait un nom, Foehn. La femelle avait son pelage, la même couleur, les mêmes marques et si le bicolore n'avait été que brièvement les voir à leurs naissances, comme tout un chacun dans le clan, il avait rapidement compris qu'elle était un obstacle imprévu à sa vie. Remarquant que la reine quitter une fois de plus ses chères petites, il s'approcha de la pouponnière, avisant Accroche Cœur encore présente, nourrice de Patte Lunaire et Patte Tordue. Impossible de se débarrasser de la gêneuse dans ses conditions, et trop tard pour faire demi-tour également. Il entra donc dans la pouponnière et alla s'asseoir non loin des trois petites, miaulant avec un enjouement qui paraissait des plus naturel.

- Qui veux entendre une histoire ? J'ai ouïe dire que trois chatonnes s'ennuyaient.

Tout en sourire, le félin attendit de voir les réactions des petites. Il n'était clairement pas à sa place mais personne n'irait le lui reprocher de passer un peu de temps avec des chatons afin de laisser aux reines un bref créneau de paix. Et puis, il avait plus qu'amplement fait son travail, avec une patrouille à l'aube en enchaînant ensuite sur une chasse. L'avantage serait donc qu'il serait tranquille et surtout, il espérait poursuivre ses manigances en influençant les trois jeunes femelles. Se garantissant ainsi de poursuivre ce qu'il avait commencer. A savoir, éloigner les proche de la lieutenante. Le doute avait déjà germer dans l'esprit des jumeaux, tout n'étaient qu'une question de temps, encore fallait il que les triplées qui avaient rejoins le clan en dernier y croit aussi.

Petit Alizé, moi et Patte Venteuse étions en train de nous regarder, de nous fixer. C'était à la première qui rigolerait dans notre jeu tiens ma moustache. Mais cela faisait déjà de trop longues minutes que nous y jouions, et je commençais à m'en ennuyer. En plus, j'avais plus de blagues en tête. Je ronchonnais alors.

Une voix grave retentit soudain dans la pouponnière :

- Qui veux entendre une histoire ? J'ai ouïe dire que trois chatonnes s'ennuyaient.

Aussitôt, mes oreilles se levèrent et je me retournai d'un bond vers la source de ces paroles. Je jetai un coup d'oeil à droite, puis à gauche. Il ne pouvait pas parler de Patte Lunaire et Tordue puisqu'ils n'étaient que deux. Parlait-il de nous? Un large sourire se dessina, et je m'élançai vers le guerrier bicolore.

"Tu tombes à pic !! "

Je me mis à lui tourner autour, toute curieuse. J'humai profondément son odeur. Un mélange de fumets, tantôt l'effluve humide de l'herbe, tantôt des senteurs inconnues. Ce tourbillon de couleur réflétait pour moi l'extérieur. Ce hors-de-la-pouponnière mystérieux, plein d'énigmes, si excitant. Je reculai ensuite pour le regarder.

"Tu t'appelles comment ?"

Je me plaçai devant le grand matou, bien en face de lui, pour plonger mon regard plein de malice et pétillants dans le sien, qui semblait si doux, si bienveillant.

Patte Venteuse allait gagner. Elle en était sûre. Ça ne faisait même aucun doute; c'était elle la meilleure après tout. Papa lui avait dit. Il l'avait sans doute dit à ses autres filles également, mais elle préférait ignorer ce fait.
Petit Foehn se mit à ronchonner, ennuyée, ce à quoi Patte Venteuse répondit par un grondement. Elle ne prenait pas le jeu suffisamment au sérieux!! C'était une bataille qu'elles se livraient, là, ne comprenait-elle donc pas?
Pour couronner le tout, un guerrier parfaitement inconnu - elle ne se rappelait pas l'avoir vu, en tout cas, ou alors elle n'avait pas prêté suffisamment attention - s'interposa pour les déranger.

- Qui veux entendre une histoire ? J'ai ouïe dire que trois chatonnes s'ennuyaient.

C'était faux! Patte Venteuse ne s'ennuyait absolument pas elle! Mais elle devait être la seule, puisque Petit Foehn lui répondit presque immédiatement, abandonnant leur session de tiens ma moustache.

- Tu tombes à pic !! s'exclama sa soeur.

Parlant de Petit Foehn... la petite aux pattes noires fit glisser son regard entre le guerrier et sa soeur à plusieurs reprises. Pourquoi... était-elle une parfaite réplique miniature de ce type là? Patte Venteuse s'était déjà posée la question de savoir si sa soeur était adoptée ou non, tant elle ne ressemblait à aucun de ses parents, et encore moins à Petit Alizé et elle. C'était peut-être son père? Non. Petit Foehn avait confirmé elle même qu'elle n'était pas adoptée, donc ça ne pouvait pas être ça.

- Tu t'appelles comment ?

Patte Venteuse grogna, rejoignant sa soeur avant de lui écraser la tête d'une patte pour la faire glisser au sol. C'était elle qui parlerait, pas sa soeur. Elle était l'ainée, c'était donc à elle de prendre les choses en pattes.

- On s'en fiche de ton histoire je suis sure qu'elle est trop nulle de toute façon, fit Patte Venteuse d'un air agacé. Et puis t'es qui d'abord? Pourquoi tu ressembles à ma soeur? T'es un frère de maman? Ou un tonton comme Puissant Guépard? Parle!!

Petit Alizé ne savait plus quoi faire. La partie de tiens ma moustache commençait à s'éterniser, et elle n'avait pas d'idées de visages marrants à faire. Elle ne savait faire que ça puisqu'elle ne connaissait pas de blagues aussi marrantes que celles de Patte Venteuse et Petit Foehn, auxquelles elle s'était malgré tout retenue de rire.

"Qui veux entendre une histoire ? J'ai ouïe dire que trois chatonnes s'ennuyaient."

La grise tigrée vrilla ses yeux, pour voir l'origine de cette voix grave qui lui était inconnue. Avant qu'elle ne puisse faire quoique ce soit, Fofo s'élança, toute heureuse de trouver une nouvelle occupation:

"Tu tombes à pic !! "


Les voir si proche lui fit réaliser à quel point ils étaient semblables. Parfaitement synchrone à l’aînée, elle regarda tour à tour l'un et l'autre, comme si elle cherchait les sept différences. Sauf qu'à part la taille du matou... elle n'en voyait aucune autre.

"Tu t'appelles comment ?"

Ventoutou se rapprocha d'eux en grognant et écrasa Petit Foehn de sa patte avant de s'inclure dans la conversation, visiblement agacée.

"On s'en fiche de ton histoire je suis sure qu'elle est trop nulle de toute façon. Et puis t'es qui d'abord? Pourquoi tu ressembles à ma soeur? T'es un frère de maman? Ou un tonton comme Puissant Guépard? Parle!!"

Petit Alizé les rejoignit et se posta entre ses sœurs, tel un mur au cas où la bicolore avait envie de se venger de la petite attaque de Patte Venteuse. Elle observa le guerrier, il était très grand et surement très fort. Cela devait être un fier combattant du clan comme ses parents! Mais, il lui faisait un peu peur, malgré son air sympathique, mieux valait ne pas le contrarier, par pure précaution. Tout en veillant à ne contrarier personne, particulièrement l’aînée de la fratrie déjà bien énervée. En parlant de cette dernière, la tigrée était elle aussi bien curieuse de connaitre les réponses aux questions qu'elle avait posé.

"Peut-être que c'est Mamoune qui lui a demandé de nous raconter une histoire!" Le fait de penser que leur mère avait pensé à elles lui donnait des étoiles dans les yeux. Puis, en pensant que ce serait tout de même un peu étrange, elle ajouta: "Ou Papou!"

L'histoire du serpent qui se mord la queue.

Cobra Royal souri d'autant plus lorsque la femelle qui trahissait son secret réagit, la première. Petit Foehn était joie là où lui n'était que calcul. Et déjà la demoiselle était tout en question, là où le guerrier n'eu nullement temps de répondre, la petite furie noire et blanche nommée Patte Venteuse arrivant bien trop rapidement pour poser questions sur questions. Véritable interrogatoire menée d'une patte quasi-experte par une enquêtrice visiblement très directive. Mais la troisième chatonne ne sembla pas vouloir rester en retrait pour autant, et bien vite elle fut là elle aussi, séparant doucement ses sœurs pour se placer entre elle et ouvrit à son tour sa petite gueule sur des mots qui firent doucement rire le Cobra.

- Je suis Cobra Royal et si je ressemble à ta sœur, c'est une pure coïncidence ma grande. Mais si tu veux tout savoir, je peux te raconter l'histoire qui explique cela.

Le félin s'installa à son aise, assis, queue enrouler autour de ses pattes et oreilles dresser sur son crâne alors qu'il commençait, voix basse et douce. Sachant pertinemment quel mensonge il allait offrir aux trois curieuses et à tout ceux qui l'écouterait. Tout à commencer bien avant votre naissance, avant même celle de votre "papou" d'ailleurs. Alors que je n'étais qu'un jeune guerrier et que votre "mamoune" était encore une apprentie. Il s'assura d'un regard que les trois petites étaient prête à écouter l'histoire, mensonge mêler de vérité qu'il allait leur servir, brisant leurs premier lien familiaux avec Tâche d'If, forçant cette dernière à prendre aux sérieux ses menaces. A l'époque, il y avait dans le clan une jeune et jolie guerrière nommée Cœur de Rose. Le mâle se retint pourtant d'ajouter qu'elle était une proche de leurs mère, il se devait de veiller à ses arrières. Mais cette femelle avait un défaut, elle voulait à tout pris un compagnon. S'était une guerrière du Vent, nommée sous l'égide d'Étoile de Sable. Vous avez déjà entendue parler de cette cheffe forte et redoutable qui a précédée Étoile Vaillante ?

Le guerrier attendit que les trois petites puisses répondre, il devait faire trainer son histoire en longueur, les perdre dans ses mensonges et laisser la vérité se mêler à l'imaginaire des chatonnes. Pointes de venin dissimulée dans un morceau de viande juteux. Tâche d'If avait tenter de lui nuire, en usant de sa "famille", le matou avait décider de lui rendre la monnaie de sa pièce et puisque Foehn ne pouvait être tuer discrètement, il aller jouer sur ses mensonges passé pour y tisser adroitement les suivants.

Mais à la place de la réponse tant espérée, je ne fis que mordre la poussière. La patte de ma soeur aînée s'écrasa sur le haut de ma tête, et déséquilibrée, je ne pus que tomber, tête la première dans la terre. Puisque j'avais ouvert la gueule pour parler, et bien c'était avec la bouche grande ouverte que je rencontrai le sol. Un goût âcre envahit mes sens, et mon visage se déforma en une grimace. Je m'empressai de protester et de secouer la tête pour qu'elle me lâche, puis crachai la terre d'un air dégoûté.

- Je suis Cobra Royal et si je ressemble à ta sœur, c'est une pure coïncidence ma grande. Mais si tu veux tout savoir, je peux te raconter l'histoire qui explique cela.

C'est vrai qu'il me ressemblait dit donc. J'en oubliai presque le goût de la terre. Je tournai la tête vers Patte Venteuse, maintenant inquiète. Était-ce si grave que je ne lui ressemblais pas? Ni à elle ni à Petit Alizé? Est-ce-que... ça faisait de moi une sœur indigne?

Cobra Royal coupa court à mes interrogations en commençant à conter son histoire. Un large sourire se dessina sur mon visage, et j'oubliai tout. J'étais pendue à ses lèvres, prête à gober tout ce qui allait se déverser de sa bouche au son mielleux jusqu'à mes oreilles.

Vous avez déjà entendue parler de cette cheffe forte et redoutable qui a précédée Étoile Vaillante ?

J'hochai vivement la tête, même si je n'avais entendu qu'à peine deux trois mots dessus :

"Elle était de couleur sable et elle était très très très redoutable!"

Pertinence : zéro. Mais j'avais participé à la conversation et rien que pour cela j'en étais fière.

Cobra Royal débuta son histoire alors qu'il n'en était surement pas invité, et au grand malheur de Patte Venteuse, Petit Alizé et Petit Foehn se prirent au jeu.
Il fallait dire qu'on s'ennuyait horriblement dans cette pouponnière. Elles ne pouvaient pas toujours jouer aux mêmes jeux. Ça devenait lassant. Si leur mère, Brise Argentée était présente, ça ne se passerait certainement pas comme ça. Mais elle avait visiblement décidé d'être une mère absente et d'abandonner ses petits. Inutile donc de compter sur elle.
Par conséquent, Patte Venteuse pouvait tout à fait comprendre ses soeurs... Mais pour autant elle n'aimait pas ce nouveau guerrier.
Déjà, il ressemblait à sa soeur, et c'était un bien mauvais point pour lui. Personne n'avait le droit de ressembler à Petit Foehn. Elle était unique, et il était hors de question qu'on lui vole cet aspect.
Il verrait, un jour. Quand elle serait guerrière, Patte Venteuse lui ferait regretter d'avoir voulu voler l'apparence de sa soeur. Elle était très jolie, oui, mais ce n'était pas une raison.

- Elle était de couleur sable et elle était très très très redoutable! s'exclama Petit Foehn pour répondre à Cobra Royal.
- Ugh... marmonna sa soeur en guise de réponse, tout en levant les yeux au ciel.

Elle n'avait certainement pas envie que ses soeurs jouent avec lui! Elles s'amusaient presque bien avant... elles pourraient se débrouiller toutes seules!

- Mais maintenant elle est plus là, fin de l'histoire! J'en veux pas de tes contes qui durent trois ans ça répondra jamais à mes question! Toute façon, t'es nul. Aller venez les filles, on va jouer à... à... on va jouer... à la bataille? Comme hier? Je fais la grosse Suie moche du Tonnerre si vous voulez? Ça vous dit?


(tu lui voles la vedette ça lui plait pas )

- Je suis Cobra Royal et si je ressemble à ta sœur, c'est une pure coïncidence ma grande. Mais si tu veux tout savoir, je peux te raconter l'histoire qui explique cela

C'était cela l'histoire qu'il allait leur raconter ? Pourquoi Petit Foehn lui ressemblait ? Et il commenca, parlant d'une guerrière dont Petit Alizé n'avait jamais entendu le nom: Cœur de Rose. Le récit se passait quand son père n'était pas encore de ce monde et leur mère une apprentie. Comment elle était apprentie, d'ailleurs ? Elle pourrait peut être lui demandait plus tard.Il continua, la plus jeune de la fratrie était pendue à ses lèvres et on pouvait presque voir des étoiles dans ses yeux. Patte Venteuse semblait irritée. Elle, elle eut un ronron en voyant Fofo, et se demanda pourquoi son aînée semblait aussi énervée.

Elle était de couleur sable et elle était très très très redoutable!intervint Petit Foehn, répondant, un peu inutilement, à la question du guerrier.

La petite aux yeux vairons, ne partageait clairement pas cet enthousiasme, comme le prouvait son petit "ugh". Cela ne tarda pas avant qu'elle prenne la parole afin de clôturer cette séance d'histoire.


- Mais maintenant elle est plus là, fin de l'histoire! J'en veux pas de tes contes qui durent trois ans ça répondra jamais à mes question! Toute façon, t'es nul. Aller venez les filles, on va jouer à... à... on va jouer... à la bataille? Comme hier? Je fais la grosse Suie moche du Tonnerre si vous voulez? Ça vous dit?

Petit Foehn était tellement prise et intéressée par le récit de Cobra Royal que Petit Alizé pensa qu'il serait un peu cruel de l'en priver. Et puis, si Ventoutou était agacée car elle voulait jouer à la bataille, elles pourraient le faire après! Oui, elle avait trouvé la solution pour faire plaisir à tout le monde tout en veillant à ne pas contrarier le grand -et assez effrayant - combattant.

"L'histoire a l'air de faire super plaisir à Fofo! Laissons le continuer. On jouera à la bataille après si tu veux !"

L'histoire du serpent qui se mord la queue.

Le Cobra souri en découvrant son portrait miniature, petite femelle déjà ravie qui l'écoutait très attentivement. Bien, il aurait besoin de cela, en revanche sa sœur bicolore semblait plus réticente et il estima que ce serait une question de temps avant qu'il ne parvienne à se lié d'une façon où d'une autre l’amitié de la petite. Quant à la dernière, un peu en retrait, elle semblait une proie idéale aux mensonges du matou. Mais pour cela, il devait avancer sereinement et ne pas se précipiter. Foehn répondis d'ailleurs presque immédiatement, en brave petite chatonne fort intéresser, mais Venteuse ne tarda guère à venir y mettre son grain de sel, aussi ronchonne que semblait constamment être la fille de Cœur Givré. Le mâle souri pourtant, prenant un air attendri alors qu'en réalité, il envisageait justement de montrer à la petite qu'à la "bataille" elle n'avait pour seule chance que celle de finir broyée, écrasée, démantibuler ... Et pourtant, il s'abstint d'agir vraiment, ce n'était qu'une chatonne, sa petite fille qui plus est, une part de son sang à lui couler dans ses veines à elle, et sans doute n'en serait elle jamais consciente.

- Hé bien tâchons de raccourcir un peu cette histoire alors ... Il reprit pourtant, comme si de rien n'était. La jeune et jolie femelle qu'étais Rose avait de nombreux amis. Mais nul ne découvrit le terrible secret qu'elle cachait à tous si habilement. Il se tut bien volontairement, pour leur laisser amplement le temps de se questionner, de râler où qu'importe avant de rependre, baissant la tête pour parler moins fort, sur le ton de la connivence. Elle avait fait la connaissance d'un étranger au clan, un chat qui nous ressemble, à Foehn et à moi. Car il est finalement courant d'être noir et blanc. Et voilà, avec un peu de jugeote un jour ... Pour l'heure, il doutait donc fortement qu'elles comprennent mais il poursuivit son récit. Oh bien sur, nul n'aurait jamais cautionner pareil amour et c'est bien normal. Rose était une traîtresse mais comme de nombreux chats par le passé, elle parvint à le dissimulé jusqu'à sa mort. Le félin remua la queue tout en se redressant. Il en était au moment le plus complexe. Il s'assura donc d'avoir leur attention pour miauler doucement. Elle donna la vie à deux minuscules chatons, deux pauvres petits mais ce faisant, elle y laissa la sienne. Nul ne sait si elle à rejoint nos ancêtres et si il lui ont pardonner où si elle a rejoint la terrible Forêt Sombre ...

Il appuya volontairement les deux derniers mots. Peut-être un frisson de peur pouvait il lui faire obtenir l'écoute de la râleuse du trio. Dans tout les cas, il savait une chose. Il lié ses mensonges les uns aux autres, les tissés de tel sorte à ce que si ses propres fils entendaient un jours les chatonnes en parler, le doute grossirait.