La family de l'enfer - abandon

Pin de Cèdre se levait lentement de son nid, le jour ne s'était pas encore pointait a l'horizon lorsqu'il sortit dans la place d'Aiguille, du clan de l'Ombre. Ce jeune père vivait le parfait bonheur depuis que sa compagne Tâche de Vache avait mis bas de deux magnifique chatons, Petite Orque sa fille et Patte d'Alpaga son fils. Il sentit en sortant que les vent se faisait de plus en plus frais, ce qui l'inquiéta un peu plus, sa portait de chatons ce dérouler a la mauvaise saison et il espérait de tout cœur qu'ils survivent. Le papa se leva d'un bon et d'un coup il se dirigea vers la pouponnière passant la tête au travers de la barrière protégeant les chatons et les reines.

Il aperçut ses enfants blottit contre leur mère, il s'approcha de celle-ci pour frotter son museau au sien et il lui susurra des mots doux et rassurant autant pour lui comme pour elle. Il se colla a elle et s'assura qu'il n'y avait aucun courant d'air ou trous dans la voûte protégeant sa compagne. Il aperçut un trous aussi grand qu'une griffe, mais le papa surprotecteur fit tout son possible pour le boucher, il s’était relever doucement pour ne réveiller personne. Et avait passer une bonne demi-heure a tenter de le boucher d'abord avec des brindilles puis des fougères et enfin de la mousse, mais il ne réussi qu'avec une plume de corbeau traînant dans un coin reculé de la pouponnière. Le mâle brun émit un long soupir de soulagement et fit balancer sa queue d'un coté a une autre de fierté.

Pin de Cèdre se tourna une dernière fois avant de sortir a nouveau dans la clairière il salua sa compagne qui avait relevé la tête et lui indiqua qu'il aller lui chercher une belle proie avant de voir dans quelle patrouille il partirait. Il sortit donc a pas assuré vers le tas de gibier, où il fouilla pour trouver un beau corbeau a ramener à sa princesse. Tout content de lui il releva ses oreilles tombantes et d'un petit dandinement repartie dans la pouponnière où il donna la proie à sa belle. Quelques instant d'après il ressortit une fois de plus et en regardant l'aube poindre en haute des sombre sapins il se mit a faire sa toilette lorsqu'il entendit des petit cliquetis derrière son dos. Un chaton ?

Les Petits pas qu'il avait entendu était en fait ceux de ses enfants. En effet Patte d'Alpaga son fils s'était lever et l'avait rejoins, un peu avant sa soeur et pour demander:

« - Papa … ? Je peux goûter !? »

Puis sa soeur l'avait rejoins et tous les deux avaient apparemment faim puisqu'elle renchérit:

« Oh oui papa ! Et puis, qu'est ce que c'est comme proie ? C"est toi qui l'as attrapé ? »

Le père de la petite troupe sourit attendrit par ses deux enfants, enfin il enroula sa queue autour des deux petites boules de poils, ils réchauffaient son coeur, ses enfants étaient toute sa vie. Alors en fixant ses enfants puis la proie qu'il avait entamé il reprit a son tour:

-Patte d'Alpaga, Petite Orque, vous devriez dormir tous les deux. Il fit un petit pause il avait prit un voix douce mais au connotation autoritaire. Ma fille cette proie c'est un oiseau tout noir et pousse des croissement lugubres, autrement dit il s'appelle corbeau.

Il les rapprocha de sa queue pour les inciter a goûter gentiment afin qu'ils commencent à se nourrirent tous seul, comme ca il pourrait passer plus de temps avec sa princesse.